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On drogue, on torture et on tue les vieux

Personnes âgées et médicaments, EHPAD, torture, hôpital, maltraitance médicamenteuse, psychotropes, maison de retraite, , médecine, extermination, massacre, génocide, barbarie médicale, torture chimique avec des médicaments, drogues, défonce médicamenteuse, horreurs, médecins, agonie, souffrances, univers concentrationnaire, prison pour personnes âgées, camp d'extermination par les médicaments, violences médicales et médicamenteuses, non-information sur les traitements, abus de traitement sédatif ou neuroleptique, génocide gériatrique...

Les neuroleptiques cachés : théralène, donormyl, primpéran / reglan, motilium, mépronizine, noctran, vastarel, nozinan, phénergan, tanganil, vogalène, agréal, Sibelium, Nocertone, tildiem, nopron, Sureptil, tiapridal, cotrane…

Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

Contention chimique : Prescriptions massives de neuroleptiques, très dangereux et souvent mortels, aux personnes âgées
 
En cas de dépendance : NE JAMAIS STOPPER BRUSQUEMENT !
 
Migraine :
La flunarizine (Sibelium), neuroleptique
L’oxétorone (Nocertone), neuroleptique
Gastro-entérologie :
La dompéridone (Motilium, Peridys, Oroperidys et génériques), neuroleptique, traitement des reflux gastro-œsophagiens (voyez : 231 morts subites injustifiées annuellement en France – 2015.)
 
Ajouts en 2018 : métopimazine, nifuroxazide, etc. Nous avons analysé en 2017 les effets indésirables cardiaques de la métopimazine (Vogalène°, Vogalib°), un neuroleptique du groupe des phénothiazines couramment utilisé en France comme antiémétique, avec environ 4 millions de patients exposés sur l’année 2016, le plus souvent lors d’une gastroentérite. Les rares données disponibles montrent qu’elle expose à des troubles cardiaques graves (dont syncopes, troubles du rythme, morts subites) disproportionnés dans ces nausées et vomissements passagers (n° 411 p. 24-27).
 
Ajouts en 2018 : métopimazine, nifuroxazide, etc. Nous avons analysé en 2017 les effets indésirables cardiaques de la métopimazine (Vogalène°, Vogalib°), un neuroleptique du groupe des phénothiazines couramment utilisé en France comme antiémétique, avec environ 4 millions de patients exposés sur l’année 2016, le plus souvent lors d’une gastroentérite. Les rares données disponibles montrent qu’elle expose à des troubles cardiaques graves (dont syncopes, troubles du rythme, morts subites) disproportionnés dans ces nausées et vomissements passagers (n° 411 p. 24-27).
 
«Ce sédatif très prescrit et très bon marché est utilisé comme alternative aux benzodiazépines, précise le professeur Bernard Granger , spécialiste de psychiatrie (université René-Descartes, hôpital Tarnier, AP-HP). Il est issu d’une famille d’antihistaminiques, les phénothiazines, qui ont valu un prix Nobel de médecine à un chercheur qui a longtemps travaillé en France, Daniel Bovet, et qui ont été à l’origine de la découverte des neuroleptiques puis des antidépresseurs tricycliques dans les années 1950.»
Le dropéridol (Droleptan), neuroleptique, traitement des reflux gastro-œsophagiens Le prucalopride (Resolor), apparenté aux neuroleptiques, traitement de la constipation chronique
 
Ces décisions de retrait d’AMM seront effectives à compter respectivement du 27 octobre 2011 et du 10 janvier 2012
 
effexor, déroxat, zoloft, prozac, norset, anafranil….
 
Le Motilium et ses génériques, médicaments à base de dompéridone utilisés contre les nausées et les vomissements, seraient responsables de plusieurs dizaines de morts en une seule année, selon la revue Prescrire.
 
Le méprobamate, commercialisé en France sous le nom Equanil
 
« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires. »
 
PHENOTHIAZINES : ANTIHISTAMINIQUE , ANTIHISTAMINIQUE H1, SEDATIF…
 
dérivé de la phénothiazine
 
Le donormyl est un neuroleptique de la famille des phénothiazines
 
Neuroleptique appartenant à la famille des benzamides
 
Agréal (sauvegarde) / Traitement non hormonal des bouffées de chaleur : véralipride
L’Agréal®, un médicament prescrit depuis 27 ans contre les bouffées de chaleur, a été retiré du marché en raison d’effets indésirables, parfois graves
 
Clorazépate dipotassique (benzodiazépine : tranxène) + acépromazine+Acéprometazine (neuroleptiques). 7.5 mg d’acéprométazine , 0.75 mg acépromazine et 10 mg de chlorazépate dipotassique
 
Action antihistaminique par antagonisme compétitif de l’histamine au niveau des récepteurs H1 de l’histamine, d’où inhibition de la plupart des effets H1 de l’histamine, mais de façon inégale:
 
INHIBITEUR CALCIQUE… ANTIHISTAMINIQUE
 
NEUROLEPTIQUE PHENOTHIAZINES : ANTIHISTAMINIQUE
 
INHIBITEUR CALCIQUE, ANTI-ANGOREUX, VASODILATATEUR PERIPHERIQUE, ANTIHYPERTENSEUR…
 
NEUROLEPTIQUE de la famille des phénotiazines, ANTIHISTAMINIQUE H1
 
Neuroleptique de la famille des benzamides
 
Rappelons tout d’abord que la trimétazidine est un « neuroleptique caché » dérivé de la pipérazine comme d’autres médicaments connus pour induire des syndromes parkinsoniens.
 
syndromes parkinsoniens imputables à la trimétazidine
 
La trimétazidine (Vastarel° ou autre) est toujours commercialisée dans divers troubles, sans efficacité tangible démontrée et malgré des effets indésirables neurologiques parfois graves
 
antinauséeux contre les nausées et vomissements
 
PHENOTHIAZINES
 
Le métoclopramide trouvée dans le Primperan ®, Anausin ®, Cephalgan ®, Chlorhydrate De Metoclopramide ® Renaudin (sol inj), Metoclopramide Merck ®, Migpriv ®, Prokinyl ® LP
 
doit être contre-indiqué chez les enfants et réservé aux adultes de 18 ans et plus, estime l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
 
Prepulsid (cisapride) : arrêt définitif de la distribution La firme Janssen-Cilag, titulaire de l’autorisation de mise sur le marché du Prepulsid (cisapride), a informé l’AFMPS que ce médicament indiqué pour traiter des troubles graves de la motilité gastrique, ne sera plus disponible en Belgique à partir du 30 avril 2011. Ceci fait suite à l’arrêt de sa commercialisation en 2004 pour des problèmes de sécurité
 
Alizapride : pharamacodynami
 
Pour comprendre ce qui s’est passé de nouveau en 1952, il faut s’intéresser à un second médicament mis sur le marché trois ans plus tard : l’imipramine, premier antidépresseur. C’est le second qui donne la clef du premier. Ce qui étonne les chimistes, c’est la proximité structurale de la molécule d’imipramine avec celle de chlorpromazine alors que les effets comportementaux sont extrêmement différents, voire opposés. Le laboratoire à l’origine de ce premier antidépresseur tricyclique avait d’ailleurs l’intention de créer un concurrent du premier neuroleptique et la nouvelle molécule sera testée, évidemment sans succès, en tant que « tranquillisant majeur » dans la schizophrénie. On a cherché à faire un « me-too » et on a créé un psychotrope très différent qui aura du mal à convaincre pendant plusieurs mois les services de marketing du laboratoire
 
Ce médicament est interdit depuis septembre 2007 en Europe ! Il l’était depuis 2006 en Espagne et avant aux Etats-Unis.
 
il s’agit maintenant d’une catastrophe sanitaire majeure !
 
Le Primpéran interdit pour les moins de 18 ans
Déjà contre-indiqué chez le nouveau-né, ce médicament prescrit contre les vomissements est soupçonné de provoquer des effets neurologiques indésirables, comme des mouvements anormaux de la tête et du cou.
 
motilium : 2000 à 3000 morts en Belgique et poursuite du labo pour fraude et activité criminelle
 
il faut savoir que le Motilium (dont la molécule est la Dompéridone), un médicament prescrit contre les nausées mais également pour favoriser la lactation chez les femmes qui allaitent (encore un exemple de connerie de détournement d’usage d’un médicament) est interdit aux U.S.A. parce que le Motilium peut provoquer une mort subite chez l’adulte.
Malheureusement en France, on va se réveiller dans 10 ans (comme avec le Bisphénol A dans les biberons, ou le Mediator), quand il y aura eu des accidents alors qu’Outre-Atlantique ça fait un bail qu’ils sont au courant
 
En avril 2015, la dompéridone est encore en vente et remboursable en France. Suite à une décision européenne, les formes orales dosées à plus de 10 mg ont été retirées du marché à l’automne 2014
 
« certaines études épidémiologiques ont mentionné des troubles du rythme cardiaque ou des décès soudain avec du dompéridone »
 
Il faut dire que les effets de l’Agréal® ne passent pas inaperçus sur bon nombre de patientes déjà pendant le traitement pour certaines d’entre elles, avec maux de tête, douleurs dans tous les membres, nausées, fatigue extrême, etc.. Pour Chantal, les effets se sont déclarés à l’arrêt de seize mois de traitement : « très rapidement ce fut la descente aux enfers. On se retrouve littéralement en situation de manque avec des douleurs atroces dans la tête, les bras bloqués, sujets à nausées et vomissements avec aussi des idées fixes de se donner la mort ».
 Mireille pour sa part avait été « traitée » dans les années 1990 avec pour conséquence une grave dyskinésie (tremblements involontaires du corps). « Pour donner une idée de la force de mes contractures musculaires, je me suis cassé spontanément la clavicule, ensuite ce sont les côtes qui se sont fracturées et j’ai du porter un gilet spécial de maintien pour atténuer mes douleurs ». L’implantation d’électrodes dans le cerveau lui a permis de réduire les tremblements mais elle a toujours aujourd’hui de grosses difficultés d’élocution, des pertes d’équilibre et, précise-t-elle, « je suis à vie sous traitement anti-épileptique et anti dépresseur pour ne pas sombrer dans l’idée fixe de la mort et faire une nouvelle te
 
Le métoclopramide est connu pour causer dyskinésie tardive chez les patients jusqu’à 29 % qui le prennent pendant une longue période de temps
 
Mais alors, une question vient à mon esprit, quelle est cette molécule anti-vomitive qu’utilise Mac do dans ses pastilles et dans ses sauces… de la dompéridone ??
 
Un médicament utilisé contre les nausées et vomissements, la dompéridone (Motilium et génériques), qui serait responsable de 25 à 123 morts subites en 2012 en France, doit être retiré du marché par les autorités sanitaires européennes, selon la revue indépendante Prescrire.La dompéridone (Motilium de Janssen Cilag, Peridys de Pierre Fabre et autres marques ou génériques) est un neuroleptique, qui a une « efficacité modeste«  contre les nausées-vomissements banals, mais « augmente le risque de troubles du rythme cardiaque et de morts subites« , indique la revue qui publie mercredi.Le Motilium et ses équivalents font d’ailleurs partie de la liste noire des publiée fin janvier par Prescrire.
 
Effets secondaires de Reglan / primpéran sur les nouveau-nés  :Selon Drugs.com, Reglan peut provoquer agitation, somnolence et problèmes de sommeil chez le nouveau-né. Reglan peut aussi causer une condition permanente connue comme la dyskinésie tardive. L’Institut National des désordres neurologiques et course stipule que la dyskinésie tardive est un trouble neurologique qui implique des mouvements involontaires, en particulier de la face inférieure. Symptômes de dyskinésie tardive incluent langue estoc et grimaçant. La dyskinésie tardive a aucun traitement et les mouvements involontaires peuvent devenir permanentes chez le nouveau-né. Drugs.com affirme que Reglan peut-être affecter circulatoire du nourisson, conduisant à une hypotension ; augmentation de la pression artérielle ; un rythme cardiaque rapide ou ralentissement du rythme cardiaque ; rétention d’eau ; insuffisance cardiaque congestive aiguë ; et des arythmies. Systèmes circulatoires des nourrissons ne sont généralement pas très développées et l’utilisation de Reglan peut causer des dommages permanents au coeur. Le dosage Reglan doit être soigneusement contrôlé afin d’éviter d’endommager le cœur.

La catastrophe sanitaire de l'agréal (pour la ménopause)

Danger primperan / Metoclopramide/ réglan

Dyskinésie : effet secondaire des neuroleptiques

Dystonie : effet secondaire des neuroleptiques

"il faut interdire les neuroleptiques !"

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

MEDICAMENTS ANTICHOLINERGIQUES : DANGER !

risques irréversibles de démence et de Maladie d’Alzheimer.

Contention chimique : Prescriptions massives de neuroleptiques, très dangereux et souvent mortels, aux personnes âgées

Antihistaminiques (atarax...) : dérivé des neuroleptiques

source : antihistaminiques

une famille d’antihistaminiques, les phénothiazines, qui ont valu un prix Nobel de médecine à un chercheur qui a longtemps travaillé en France, Daniel Bovet, et qui ont été à l’origine de la découverte des neuroleptiques puis des antidépresseurs tricycliques dans les années 1950
 
À partir du noyau de phénothiazine, c'est toute une série d'antihistaminiques (antiallergiques) qui ont été mis au point, comme le Phénergan, l'Antergan, etc. Ces produits présentent un effet secondaire sédatif.
 
théralène, donormyl, mépronizine, phénergan
 
»ne pas utiliser le salmeterol (Serevent), la combinaison de salmeterol avec le corticostéroïde fluticasone (Advair, Seretide en France) ou le formoterol (Foradil, Symbicort en France) pour le traitement de l’asthme. »
 
La Chlorpromazine (Largactil) sera donc le premier représentant d'une nouvelle famille de médicaments : Les Neuroleptiques.
 
Tous les antihistaminiques anciens cités dans le tableau précédent ont une activité adrénolytique a qui diminue l'effet vasoconstricteur de l'adrénaline et de la noradrénaline et un effet atropinique, appelé aussi anticholinergique
 
Ces neurones histaminergiques projettent largement dans tout le cerveau et y libèrent de l'histamine, ce qui permet, entre autres, d'obtenir un état d'éveil satisfaisant (l'histamine n'est pas indispensable à l'éveil mais y contribue fortement).
 
D’autres médicaments, dont certains ayant une structure chimique proche de celle des neuroleptiques, tels que les antihistaminiques H1, essentiellement utilisés dans le traitement de l’allergie mais, pour certains d’entre eux également dans le traitement de l’anxiété ou de l’insomnie, ne donnent guère lieu à des abus ou détournements, même s’ils posent souvent d’autres problèmes chez le sujet âgé.
 
ACEPROMAZINE ACEPROMETAZINE ALIMEMAZINE ALIMEMAZINE TARTRATE AMOXYDRAMINE CAMSILATE ANTAZOLINE CHLORHYDRATE ANTAZOLINE MESILATE ANTAZOLINE PHOSPHATE ASTEMIZOLE AZATADINE DIMALEATE AZELASTINE CHLORHYDRATE...
Les neuroleptiques cachés : théralène, donormyl,  primpéran / reglan, motilium, mépronizine, noctran, vastarel, nozinan, phénergan, tanganil, vogalène, agréal, Sibelium, Nocertone, tildiem, nopron, Sureptil, tiapridal, cotrane…

par robert Whitaker
http://www.freedom-center.org/pdf/whitakercaseagainstneuroleptics.pdf

Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
by Robert Whitaker
http://www.amazon.com/Mad-America-Medicine-Enduring-Mistreatment/dp/0738207993/ref=pd_bbs_sr_1/105-0169461-4253274?ie=UTF8&s=books&qid=1191338773&sr=8-1

Une histoire des neuroleptiques

Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13

Histoire préclinique

1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.

1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.

1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.

1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.

 

Histoire clinique : les neuroleptiques classiques

 

1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.

1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.

1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés " dyskinésie tardive ".

1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.

1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.

1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.

1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.

1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.

1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.

1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou "lésions cérébrales postencéphaliques ".

1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.

1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.

1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.

1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés " psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques ".

1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.

1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.

1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.

1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.

1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.

1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.

1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.

1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.

1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.

1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.

1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.

1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.

1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.

1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.

1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.

1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.

2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.

2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.

le sevrage : ne jamais stopper brusquement et ne jamais faire confiance a un médecin.

« si le sevrage des neuroleptiques vous rend tellement malade que vous allez aller à l’hôpital… de nombreuses personnes signalent que les hôpitaux nient le fait que les neuroleptiques soit à l’origine de cette réaction horrible. C’est aussi ce qui m’est arrivé. »
 
Deux-tiers ont rapporté des effets indésirables retrait, 18 % ont indiqué aucun effet de retrait, et 13 % effets positifs. Certains des effets indésirables repli inclus : l’anxiété et la peur, sautes d’humeur, tristesse et dépression, irritabilité et agitation, tendances suicidaires et l’humeur des balançoires. Sur le plan physique, les effets du sevrage incluaient : nausées, sommeil insomnie ou perturbés, diarrhée, vomissements, maux de tête, des sensations corporelles désagréables, appétit et perte de poids rapide, tremblements, transpiration et une personne a signalé des saisies.
Androcur / Acétate de cyprotérone de BAYER : une catastrophe sanitaire ignorée / Hormones, anti-hormonaux.... victimes
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