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On drogue, on torture et on tue les vieux

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Zyprexa / olazapine

Zyprexa / Olazapine doit devenir illégal

goupe du docteur ann Blacke Tracy

 

Zyprexa : danger

Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa

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Témoignage : NE TOUCHEZ PAS A CE MEDICAMENT !

« Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation était, des essais cliniques, « plus que tous les autres médicaments psychotropes dans l’histoire. »
 
Beaucoup de patients qui reçoivent des médicaments d’ordonnance veut être bons patients, afin qu’ils consciencieusement suivent les conseils de leur médecin et de prennent leurs médicaments. Malheureusement, dans certains cas, tels que Zyprexa, le médicament peut rendre le patient bien pire. Sans se rendre compte que le problème est le médicament, le médecin augmente la dose, le problème de mélange. Le patient, ne voulant pas mettre en doute l’avis de l’expert, est collé sur un cercle vicieux de la prise du médicament, effets secondaires, prendre une dose accrue et des problèmes encore pires.
 
Supprimer le zyprexa dans tous les pays
 
Dawson ne sait pas cela ? J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
 
Eli Lilly and Company acceptait de payer 1,415 milliard de dollars afin de résoudre les allégations de promotion hors AMM de Zyprexa $ 515 Million Criminal Fine est la plus grande personne physique criminelle trouver dans l’hisoire; Liquidation civile jusqu’à concurrence de 800 millions de dollars .
 
En décembre 2010, L’Express avait répertorié 10 médicaments à retirer d’urgence du marché, dont le Zyprexa®
En France, les membres de l’Afsaaps, rebaptisée Ansm (Agence nationale de sécurité du médicament), qui semblent ignorer totalement ce qui se passe hors de l’hexagone et ont perdu tout sens critique, n’ont pas tiré la moindre leçon du scandale du Mediator et de ses nombreux précédents. Ils « surveillent » le Zyprexa® et attendent sans doute qu’on découvre des centaines d’accidents et de décès, avant de le retirer de la circulation. Aurons-nous un jour en France un juge qui accusera le laxisme des autorités françaises qui persistent à autoriser un médicament dont l’efficacité est contestable, les effets secondaires indiscutables et le prix exorbitant, et dont la renommée est basée sur des mensonges ?
 
En dix ans, le Zyprexa s’est imposé comme « le » médicament pour les psychotiques. Résultat de la stratégie marketing agressive d’Eli Lilly… qui a caché des risques connus. Des milliers de plaintes ont été déposées depuis aux Etats-Unis.
 
 » les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées »
 
Le dossier zyprexa
 
les estimations évoquées par le juge varient entre 4 milliards et 7,7 milliards de dollars
 
une incidence trois fois plus élevée des accidents vasculaires cérébraux (AVC),une incidence environ deux fois plus élevée des décès.
 
Lilly a cacher le mal extrême que provoque le Zyprexa
 
Zyprexa (olanzapine), prescrit pour le traitement de la schizophrénie et la manie bipolaire, a été liée à des effets secondaires graves
 
La stratégie globale consiste à occulter délibérément les effets indésirables pour des raisons de profit. Soit la relation de causalité entre le médicament et l’effet indésirable n’est pas démontrée et la firme n’est pas inquiétée, soit elle l’est, mais après avoir vendu le plus possible
 
olanzapine
Après dix ans de traitement par l’olanzapine continu un homme de 51 ans a développé un syndrome Gilles de la Tourette qui a disparu après avoir changé de Amisulprid. Le syndrome de Tourette-sera attribué à une dyskinésie tardive induite par l’olanzapine.

Le zyprexa :
un médicament qui tue
 
membres du personnel de l’Agence estiment que l’étiquetage pour les antipsychotiques Lilly devrait inclure des informations sur le risque des enfants de prendre du poids, le développement de l’hyperglycémie ou de subir d’autres effets métaboliques

médicaments dangereux
En décembre 2006, une nouvelle majeure a été annoncée aux États-Unis. Un document interne secret a révélé que des dirigeants de la firme Eli Lilly avaient dissimulé des données montrant que l’un des médicaments les plus utilisés dans le monde pour lutter contre la schizophrénie, l’olanzapine (Zyprexa°), exposait à des risques élevés d’obésité et de diabète. D’après des courriels et des documents de la firme transmis au New York Times, Lilly connaissait ces risques avant l’autorisation de mise sur le marché, et s’est employée à minimiser les données de façon à ce que les médecins ne soient pas informés des risques que couraient les patients (b). Des articles ont été publiés pendant des jours à ce sujet, mais en Europe cet événement a été très peu couvert.
 
Le géant pharmaceutique Eli Lilly and Company a annoncé la semaine dernière un $US 690 millions offrent à régler 5 000 réclamations émanant des effets secondaires du Zyprexa, un médicament prescrit pour le traitement de la schizophrénie et des conditions telles que le trouble bipolaire.
 
Tout sur le zyprexa
 
28 000 personnes ont été indemnisées par Lilly pour que cessent les poursuites relatives à l’olanzapine (Zyprexa°).
 
Des études cliniques ont montré que le médicament Zyprexa risque de causer de graves dommages à plusieurs fonctions pancréatiques, y compris sensibilité à l’insuline et réduit des niveaux élevés de sucre dans le sang. La combinaison de ces facteurs, ainsi que des altérations métaboliques provoquées par la consommation de drogue Zyprexa peut irriter le pancréas et causer d’importants dommages à long terme. Cela se traduit souvent par une condition appelée pancréatite aiguë, qui dans bien des cas, peut être potentiellement mortelle. L’inflammation du pancréas est appelée pancréatite chronique et peut être causée par des médicaments tels que le Zyprexa. Cette inflammation peut occasionner des douleurs abdominales, des vomissements et de la fièvre. La survie de la pancréatite repose sur un diagnostic rapide et un traitement immédiat. La plupart des gens qui prennent Zyprexa ne sont pas conscients des dangers potentiels pour leur pancréas et beaucoup ignorent souvent les symptômes jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
 
neuroleptiques
 
charge virulente du juge contre les autorités sanitaires qui ont laissé faire Eli Lilly
 
Les profits sont énormes: chaque jour un psychotrope rapporte en moyen de 7,7 millions de dollars. (Ex : Le ZYPREXA rapporte 11,956 millions de dollars par jour).
 
Des études cliniques ont montré que le médicament Zyprexa risque de causer de graves dommages à plusieurs fonctions pancréatiques, y compris sensibilité à l’insuline et réduit des niveaux élevés de sucre dans le sang.
 

Eli Lilly a plaidé coupable pour la commercialisation de médicaments dangereux parfois : Zyprexa n’a jamais prouvé de manière sûre et efficace. La société payera une amende de $ 1,4 milliards

The Zyprexa Papers

Zyprexa / olazapine

Nouveaux neuroleptiques : 200 000 morts

Neuroleptiques : l'histoire

 

Neuroleptique : l’histoire

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://bipolarblast.wordpress.com/2007/10/03/a-timeline-for-neuroleptics/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dph%25C3%25A9nothiazine%2Bhistory%2Binsecticide%2Bbreggin%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dcom.ubuntu:fr:unofficial%26hs%3Dhbj

 

par robert Whitaker
http://www.freedom-center.org/pdf/whitakercaseagainstneuroleptics.pdf

Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
by Robert Whitaker
http://www.amazon.com/Mad-America-Medicine-Enduring-Mistreatment/dp/0738207993/ref=pd_bbs_sr_1/105-0169461-4253274?ie=UTF8&s=books&qid=1191338773&sr=8-1

Une histoire des neuroleptiques

Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13

Histoire préclinique

1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.

1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.

1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.

1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.

 

 

Histoire clinique : les neuroleptiques classiques

 

 

1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.

1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.

1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés " dyskinésie tardive ".

1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.

1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.

1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.

1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.

1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.

1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.

1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou "lésions cérébrales postencéphaliques ".

1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.

1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.

1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.

1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés " psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques ".

1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.

1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.

1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.

1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.

1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.

1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.

1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.

1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.

1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.

1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.

1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.

1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.

1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.

1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.

1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.

1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.

2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.

2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pa

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