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On drogue, on torture et on tue les vieux

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Antidepresseurs et torture sur ordonnances : STOP MED TORTURE / SMT

Antidepresseurs et torture sur ordonnances : STOP MED TORTURE / SMT

Ne jamais stopper brutalement, mais en faire un sevrage lent

Seuls environ 70% des victimes souffrent d'un syndrome de sevrage

Akathisie : "Cet effet secondaire est considéré comme de la TORTURE et le suicide, une délivrance"

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« Les antidépresseurs provoquent la fibromyalgie, la psychose, la manie, Alzheimer, suicide, violence, dépression, anxiété, panique, l’alcoolisme, les meurtres, les meurtres de masse, avortement spontané,  l'insomnie….. « 

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L'akathisie est un effet secondaire courant des antidépresseurs ou de leurs sevrages

Akathisie : torture sur ordonnances

Témoignage : "J ' ai été mis sur du trazadone et du diazépam après que le Prozac ait causé de l'akathisie, puis après 10 mois, mon psy a décidé que j'avais pris du diazépam trop longtemps donc l'a échangé pour le buspirone. Il m'a dit que ça serait pareil. Non seulement j'ai été touchée des retraits brutaux du diazépam, mais le trazodone avait induit de la Dystonie et le buspirone a été monté jusqu'à là où tout mon corps était en train de se secouer. Je n'ai jamais récupéré"

Voir après la quinzième minute

Le syndrome sérotoninergique est potentiellement mortel

Témoignage : "J ' ai découvert d'une façon dure le syndrome sérotoninergique... mon mari vient de mourir il y a quelques semaines de ce que nous croyons que c'était... Il était sur beaucoup trop d'antidépresseurs ISRS... S'il vous plaît, faites attention

La dyskinésie peut être un effet secondaire des antidépresseurs

La dystonie peut être un effet secondaire des antidépresseurs

TORTURE SUR ORDONNANCES : les effets secondaires des antidépresseurs en images

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TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS : Les horribles symptomes de sevrage

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Témoignages télévisés sevrage effexor

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TORTURE MEDICAL : Les dégâts incroyables que vous causent les antidépresseurs ISRS et syndrome prolongé de sevrage

Témoignages sevrage lexapro / seroplex / escitalopram

Sevrage antidépresseurs cymbalta / duloxétine

Morts sur ordonnances et témoignages

La molécule qui rend fou

De l'antidépresseur au meurtre

"LES LABORATOIRES SAVAIENT DEPUIS LES ANNEES 80 QUE LES ANTIDEPRESSEURS PROVOQUAIENT DES SUICIDES"

« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »

ISRS et ISRSN :  dysfonctionnements sexuels momentanés ou permanents

Les antidépresseurs provoquent l'alcoolisme

Alcoolisme sur ordonnances

Des dizaines de témoignages l’affirment, et d’éminents médecins le confirment : certains antidépresseurs peuvent vous faire tomber dans l’alcool. Ce risque concerne une classe de médicaments précise : les “inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine” ou ISRS. Ces molécules, dont la plus célèbre a été lancée en 1986 sous le nom de Prozac, étaient présentées comme des médicaments miracles. Aujourd’hui, ils sont accusés d’être peu efficaces et de créer de sévères dépendances. De plus, leurs effets indésirables peuvent s’avérer redoutables. On connaissait, entre autres, le risque de suicide augmenté, les pulsions agressives, voire meurtrières, les comportements compulsifs (jeu, shopping, etc.), l’accroissement de 87 % du risque d’autisme pour l’enfant exposé in utero. Quelques jours après la publication d’Effets secondaires, le scandale français (1), faut-il ajouter l’alcoolisme à la longue liste des effets secondaires des ISRS ?
Christophe* a 27 ans, en 2004, quand son médecin lui prescrit pour la première fois de l’Effexor®, à la suite de ce qu’il évoque sobrement, au début de l’entretien, comme “des décès dans la famille”. Le médecin ne lui délivre aucune consigne particulière. “Auparavant, je n’avais jamais abusé d’alcool. Je buvais quelques bières le week-end, dans des soirées… Mais je suis quelqu’un de responsable, si je savais que j’allais “descendre” deux ou trois verres, je ne prenais jamais le volant.” Christophe commence le traitement et ressent rapidement d’irrésistibles pulsions à consommer de l’alcool. Il boit de plus en plus, conduit dans la foulée et constate qu’il ne ressent pas les effets euphorisants de l’ivresse : “Sous ISRS, j’aurais pu boire une bouteille de vodka le matin et aller travailler comme si de rien n’était. Aucune gueule de bois. Mais ce n’était pas tout : à partir d’une certaine quantité, c’est comme si quelqu’un d’autre prenait ma place. Je me conduisais mal, je vociférais, je flirtais avec des filles – ce que je n’aurais jamais fait en temps normal, même ivre. Mes copains me racontaient mes “exploits” le lendemain, car je n’en avais gardé aucun souvenir. J’étais comme anesthésié, alors je n’en avais plus rien à f… Et ça a fini par bien bousiller ma vie.” Pendant quatre ans, Christophe n’établit aucun lien entre son traitement et son changement de comportement. Ses amis lui enjoignent de se faire soigner : à leurs yeux, il est “simplement” en train de tomber dans l’alcoolisme. Un soir, à un mariage, il boit et assure qu’il veut se suicider. La police arrive et l’embarque, un agent lui demande s’il prend de la cocaïne, de l’héroïne ou une autre drogue.
“On peut dire que les IRS ont beaucoup d’effets secondaires… dont la mort !” lance le docteur Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire (3). En juin 2015, Prescrire a écrit, dans un article intitulé “Antidépresseurs IRS et venlafaxine : intoxications à l’alcool avec violences” : “Selon quelques centaines d’observations, certains antidépresseurs semblent exposer à une augmentation de la consommation d’alcool, à des signes d’intoxication à l’alcool exagérés, avec des manifestations d’agressivité. Il s’agit notamment des ISRS et de la venlafaxine.”
Pour Bruno Toussaint, “il existe manifestement un lien entre les IRS et la consommation d’alcool. Mais, comme tous les comportements – y compris les pulsions meurtrières, suicidaires –, ces effets sont difficiles à répertorier et à quantifier. On pourrait dire que ce n’est ni bien décrit ni bien “rangé” dans les bases de données pharmacologiques. Et puis, l’interaction d’une personne et d’une substance est déjà un phénomène complexe, alors imaginez si l’on ajoute l’alcool à l’équation…”

Témoignages torture

CYMBALTA MEDICAMENT OU DEMON (sauvegarde)
Bonjour, mon mari opéré d’une tumeur du trijumeau en 02/07 souffrait énormément de la face gauche du visage suite à une lésion du nerf facial. Le professeur Blond, spécialiste de la douleur au CHR de Lille lui a prescrit du cymbalta 60mg (1 le soir) le 09/10/08 ce qui au début a un peu soulagé mon mari, mais les douleurs sont revenues. Il n’était absolument pas suivi par un psy et depuis la prise du cymbalta il ne se sentait pas toujours bien le matin et avait parfois des angoisses. Mon mari avait déjà fait plusieurs tentatives de suicide ou plutôt des appels au secours, le professeur Blond connaissait son dossier médical. Mais ces derniers mois mon mari allait plutôt bien et ne prenait aucun antidépresseur sauf le cymbalta depuis oct 08. Le 16 novembre au matin, j’ai trouvé mon époux PENDU au sous-sol avec un câble électrique. Il est décédé le 17/11 à 9h. J’ai lu un message sur le site du docteur Vincent dans lequel il disait qu’il ne fallait jamais prescrire du cymbalta à quelqu’un qui a déjà fait des tentatives d’autolyse.
Merci de me dire si j’ai un recours, mon chagrin est immense, la veille mon mari demandait aux enfants qui n’habitent plus chez nous s’ils seraient là à Noël pour le réveillon, il faisait des projets… cela est trop injuste, je n’en peux plus de ne pas savoir : POURQUOI ? en tout cas une chose est sûre il ne voulait pas mourir, il le disait et allait chez le médecin souvent pour surveiller son coeur car il avait également subi 2 opérations à coeur ouvert en 2004 et en 2006.
ps : il avait également de l’incontinence urinaire et des insomnies malgré le somnifère il s’endormait vers minuit et se levait vers 5h… et cela depuis cymbalta. Je cherche des témoignages pour constituer un dossier

"C’est la pire torture possible : prendre tout ce qui est vivant en vous, sans vous tuer"
"Certains antidépresseurs semblent faire durablement – voire définitivement – perdre le goût à la vie et plonger les patients dans des états de dépression profonde. La plupart du temps, les soignants refusent d’établir le lien entre le traitement et l’anhédonie qu’il provoque. La détresse des patients est telle que, dans les pays où c’est possible, ils demandent à bénéficier d’un suicide assisté".
“Je me suis procuré une arme à feu, pour être sûr de pouvoir en finir rapidement quand je le déciderai, assène Damien, 22 ans. J’ai le droit de mourir, c’est légitime dans mon état. Ce n’est pas seulement sa vie sexuelle qu’on perd à cause des ISRS (1), c’est sa vie tout court. Ces molécules vous enlèvent complètement la capacité à ressentir du plaisir. Faire un tour en forêt, boire un pot en terrasse avec des amis, regarder un film : tout se fond dans une bouillie de grisaille. Je n’ai plus aucune raison de vivre ; à l’intérieur de moi, il n’y a que du vide. J’ai l’impression d’être une merde, tout le temps.”

 
 

Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

Les antidépresseurs peuvent provoquer l'autisme

Les antidépresseurs ou leurs sevrages, peuvent provoquer l'ataxie et la fibromyalgie

C'est vrai. Les antidépresseurs provoquent souvent la manie chez les personnes qui ne le seraient autrement pas   MAIS! Le sevrage des antidépresseurs aussi, comme le retrait des médicaments psychotropes  est DÉCLENCHEURS DE DOULEUR CHRONIQUE chez de nombreuses personnes. les gens l'appellent la fibromyalgie.
 
Peu fréquent (0,1% à 1%): amnésie, ataxie, syndrome du canal carpien , troubles cérébrovasculaires, troubles de la concentration, dysesthésie, déséquilibre, dysgueusie, dystonie, hyperkinésie, hyperréflexie, hypertonie, hypoesthésie, étourdissements, migraine , lésion des racines nerveuses, névralgie , neuropathie , paralysie, sédation, syncope , altération du goût / perversion
 
 

« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues illégales »

Antidepresseurs et torture sur ordonnances : STOP MED TORTURE / SMT
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