15 Août 2022
"ces symptômes ont une origine physique et non psychologique"
Vies volées : témoignages de victimes des antidépresseurs
Violence, meurtres et suicides induits par les médicaments: TORTURE SUR ORDONNANCES
Tueries dans les écoles sur ordonnances : TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS (sauvegarde)
Ne jamais stopper brutalement, mais en faire un sevrage lent
Seuls environ 70% des victimes souffrent d'un syndrome de sevrage
Akathisie : "Cet effet secondaire est considéré comme de la TORTURE et le suicide, une délivrance"
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« Les antidépresseurs provoquent la fibromyalgie, la psychose, la manie, Alzheimer, suicide, violence, dépression, anxiété, panique, l’alcoolisme, les meurtres, les meurtres de masse, avortement spontané, l'insomnie….. «
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L'akathisie est un effet secondaire courant des antidépresseurs ou de leurs sevrages
Akathisie : torture sur ordonnances
Témoignage : "J ' ai été mis sur du trazadone et du diazépam après que le Prozac ait causé de l'akathisie, puis après 10 mois, mon psy a décidé que j'avais pris du diazépam trop longtemps donc l'a échangé pour le buspirone. Il m'a dit que ça serait pareil. Non seulement j'ai été touchée des retraits brutaux du diazépam, mais le trazodone avait induit de la Dystonie et le buspirone a été monté jusqu'à là où tout mon corps était en train de se secouer. Je n'ai jamais récupéré"
Le syndrome sérotoninergique est potentiellement mortel
Témoignage : "J ' ai découvert d'une façon dure le syndrome sérotoninergique... mon mari vient de mourir il y a quelques semaines de ce que nous croyons que c'était... Il était sur beaucoup trop d'antidépresseurs ISRS... S'il vous plaît, faites attention
La dyskinésie peut être un effet secondaire des antidépresseurs
La dystonie peut être un effet secondaire des antidépresseurs
TORTURE SUR ORDONNANCES : les effets secondaires des antidépresseurs en images
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TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS : Les horribles symptomes de sevrage
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Témoignages télévisés sevrage effexor
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TORTURE MEDICAL : Les dégâts incroyables que vous causent les antidépresseurs ISRS et syndrome prolongé de sevrage
Témoignages sevrage lexapro / seroplex / escitalopram
Sevrage antidépresseurs cymbalta / duloxétine
Morts sur ordonnances et témoignages
La molécule qui rend fou
De l'antidépresseur au meurtre
"LES LABORATOIRES SAVAIENT DEPUIS LES ANNEES 80 QUE LES ANTIDEPRESSEURS PROVOQUAIENT DES SUICIDES"
« Les patients sont littéralement torturés par les médicaments qu’on leur donne »
ISRS et ISRSN : dysfonctionnements sexuels momentanés ou permanents
Les antidépresseurs provoquent l'alcoolisme
Témoignages torture
CYMBALTA MEDICAMENT OU DEMON (sauvegarde)
Bonjour, mon mari opéré d’une tumeur du trijumeau en 02/07 souffrait énormément de la face gauche du visage suite à une lésion du nerf facial. Le professeur Blond, spécialiste de la douleur au CHR de Lille lui a prescrit du cymbalta 60mg (1 le soir) le 09/10/08 ce qui au début a un peu soulagé mon mari, mais les douleurs sont revenues. Il n’était absolument pas suivi par un psy et depuis la prise du cymbalta il ne se sentait pas toujours bien le matin et avait parfois des angoisses. Mon mari avait déjà fait plusieurs tentatives de suicide ou plutôt des appels au secours, le professeur Blond connaissait son dossier médical. Mais ces derniers mois mon mari allait plutôt bien et ne prenait aucun antidépresseur sauf le cymbalta depuis oct 08. Le 16 novembre au matin, j’ai trouvé mon époux PENDU au sous-sol avec un câble électrique. Il est décédé le 17/11 à 9h. J’ai lu un message sur le site du docteur Vincent dans lequel il disait qu’il ne fallait jamais prescrire du cymbalta à quelqu’un qui a déjà fait des tentatives d’autolyse.
Merci de me dire si j’ai un recours, mon chagrin est immense, la veille mon mari demandait aux enfants qui n’habitent plus chez nous s’ils seraient là à Noël pour le réveillon, il faisait des projets… cela est trop injuste, je n’en peux plus de ne pas savoir : POURQUOI ? en tout cas une chose est sûre il ne voulait pas mourir, il le disait et allait chez le médecin souvent pour surveiller son coeur car il avait également subi 2 opérations à coeur ouvert en 2004 et en 2006.
ps : il avait également de l’incontinence urinaire et des insomnies malgré le somnifère il s’endormait vers minuit et se levait vers 5h… et cela depuis cymbalta. Je cherche des témoignages pour constituer un dossier
"C’est la pire torture possible : prendre tout ce qui est vivant en vous, sans vous tuer"
"Certains antidépresseurs semblent faire durablement – voire définitivement – perdre le goût à la vie et plonger les patients dans des états de dépression profonde. La plupart du temps, les soignants refusent d’établir le lien entre le traitement et l’anhédonie qu’il provoque. La détresse des patients est telle que, dans les pays où c’est possible, ils demandent à bénéficier d’un suicide assisté".
“Je me suis procuré une arme à feu, pour être sûr de pouvoir en finir rapidement quand je le déciderai, assène Damien, 22 ans. J’ai le droit de mourir, c’est légitime dans mon état. Ce n’est pas seulement sa vie sexuelle qu’on perd à cause des ISRS (1), c’est sa vie tout court. Ces molécules vous enlèvent complètement la capacité à ressentir du plaisir. Faire un tour en forêt, boire un pot en terrasse avec des amis, regarder un film : tout se fond dans une bouillie de grisaille. Je n’ai plus aucune raison de vivre ; à l’intérieur de moi, il n’y a que du vide. J’ai l’impression d’être une merde, tout le temps.”
Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale
Les antidépresseurs peuvent provoquer l'autisme
Les antidépresseurs ou leurs sevrages, peuvent provoquer l'ataxie et la fibromyalgie
« Les drogues psychiatriques sont beaucoup plus dangereuses que les drogues illégales »