27 Mars 2020
Pas de place pour les personnes âgées, dans les hôpitaux ?
Rivotril, une benzodiazépine, pour tuer
Ils meurent étouffés, c'est horrible !
Même si il y avait de la place à l'hôpital, ils refusaient le transfère.
Assassinat massif des plus de 65 ans, avec du rivotril (une benzodiazépine des plus dangereuses, réservée aux épileptiques), qui souffrent de n'importe quelle difficulté respiratoire (avec ou sans rapport avec le coronavirus)
"pour les Résidents Covid ou supposés Covid"
16 octobre 2020 : ils remettent cela
II. - Par dérogation à l'article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ».
Lorsqu'il prescrit la spécialité pharmaceutique mentionnée au premier alinéa en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché, le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d'une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d'autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs et mis en ligne sur son site.
La spécialité mentionnée au premier alinéa est prise en charge par les organismes d'assurance maladie dans les conditions du droit commun avec suppression de la participation de l'assuré prévue à l'article R. 160-8 du code de la sécurité sociale.
« Moi j’ai eu des appels au secours de directeurs d’Ehpad, enfin de maisons de retraite ces derniers jours, ils avaient une boîte de masques pour toute la semaine pour le personnel et tous les résidents ! Et quand vous voyez ce témoignage que j’ai vu à la télé ces derniers jours d’une maison de retraite en plein cœur de Paris, un tiers des résidents étaient morts, un tiers du personnel étaient malades ou n’étaient pas revenus travailler parce qu’ils avaient peur, on a vu le témoignage horrible de personnes âgées abandonnées qui n’étaient plus nourries, plus soignées, et il y avait des gens, des cadavres qui étaient là depuis cinq jours que les pompes funèbres étaient pas venues chercher ! En plein cœur de Paris ! Alors qu’on sait qu’il y a peut-être un traitement qui pourrait sauver toutes ces personnes âgées ! Et on va nous dire “oui, il y a peut-être un risque cardiaque, une fois sur mille” ! Là j’hallucine, je ne comprends pas le manque de décision politique ! »
La mise sous respirateur des personnes âgées, ne les sauve pas, mais les tue ?
"beaucoup de personnes âgées vivent avec des niveaux d'oxygène chronique. Ce n'est peut-être pas idéal, mais ils survivent"
" lorsque de telles personnes arrivent dans les hôpitaux, les médecins peuvent mal interpréter les niveaux d'oxygène, croyant que ce sont des situations d'urgence terribles - et donc, ils mettent les patients sous ventilateurs. Avec trop de pression, le résultat peut être des dommages pulmonaires et la mort."
"Les taux de mortalité des personnes ayant reçu une ventilation mécanique dans les groupes d'âge de 18 à 65 ans et plus de 65 ans étaient respectivement de 76.4 % et 97.2 %, Les taux de mortalité des groupes d'âge de 18 à 65 ans et plus de 65 ans qui n'ont pas reçu de ventilation mécanique étaient respectivement de 19.8 % et 26.6 %,"
«ne risque-t-on pas de passer de la sélection des patients à une euthanasie massive qui ne dit pas son nom?»
«Dans un hôpital public d’Île-de-France –des documents en possession du “Canard” en attestent–, aucun patient de plus de 70 ans n’a été admis en réa durant les six jours les plus critiques de la crise. Un “tri” que personne ne semble prêt à assumer aujourd’hui…»
Le rivotril, autorisation prolongée
A noter que la prescription du controversé Rivotril a été reconduite (hors AMM) dans le décret du 31 mai (voir article 51). Ce médicament avait été exceptionnellement autorisé dans le cadre de la surcharge hospitalière liée à la crise, pour aider les aînés à soulager leur agonie en maison de retraite à défaut de les admettre en hôpitaux. Les hôpitaux ne sont pourtant plus surchargés aujourd’hui.
Benzodiazépines / somnifères : "La généralisation du midazolam est-elle voulue pour tuer un maximum de vieux et aider la réforme des retraites de Macron ?
Nul besoin d'être un grand clerc pour comprendre que moins il y a de vieux, moins il y a de retraites à payer.
En 2014, le coût de la dépendance des gens âgés s'est élevé à 30 milliards d'euros, soit 1,4 point de PIB, dont 23,7 milliards sont financés par les pouvoirs publics. On estime qu'en 2060, ce coût approchera les 3%.
"A mon arrivée, je suis frappée par l’insalubrité des locaux et il n’y a aucun dispositif de protection (masques, blouses, gel hydro-alcoolique…) à l’entrée de l’unité. Dans le bureau médical, je vais à la rencontre de l’infirmière de jour. Elle me dit : Je suppose que tu n’es pas prévenue mais ici, c’est une unité contaminée alors il va falloir que tu te munisses vite d’un masque
. Elle m’explique que c’est une unité où la plupart des personnes âgées présentent des signes de démence importants et qu’il y a 9 patients infectés par le coronavirus confirmés, mais que la plupart des patients n’ont pas été testés. Elle me désigne le patient qui se trouve dans le couloir en train de toucher obsessionnellement une poignée de porte et me dit : Lui c’est Mr A, il est confirmé Covid-19, alors tu vois, il faut que tu fasses attention
puis en me désignant une autre patiente du couloir un peu plus au loin, elle ajoute Elle, c’est Mme B., elle est également Covid-19, elle déambule et passe de chambre en chambre rendre visite à tous les patients […] Tu comprends pourquoi il semble évident que tous les patients sont positifs
. Il est 21h20, l’infirmière est très fatiguée et doit récupérer sa fille à la crèche. Je lui dis alors que je prends le relais afin de la laisser partir s’occuper de sa famille et se reposer.
Aucun circuit, aucune mesure mise en place dans le service, aucun dispositif devant les chambres des patients contaminés…
Je me rends dans le poste de soins. L’aide soignante qui travaille avec moi cette nuit me tend un masque et m’explique qu’il y a de nombreuses soignantes dans ce service qui sont actuellement en arrêt maladie car elles ont contracté le virus, dont sa deuxième collègue, qui devait être présente cette nuit. Je fais un point avec elle. Elle est énervée car deux aides-soignantes intérimaires présentes cet après-midi l’ont agressée dans les vestiaires. Elle me relate l’épisode : Elles se sont énervées contre moi car personne ne les avait prévenues que le service était Covid-19, elles sont parties en me disant qu’elles ne voulaient pas faire de transmission et qu’elles ne voulaient pas travailler dans des conditions pareilles
. Par la suite, elle me montre le fonctionnement du service et m’explique qu’elle est toute seule pour faire les soins d’hygiène des 33 patients présents dans l’unité. Elle m’explique que lorsqu’elles sont deux aides-soignantes, la charge de travail est très lourde mais qu’actuellement, elle est seule. Elle me montre la boîte de masques et me dit qu’il en reste six pour toute la nuit. Ce sont des masques chirurgicaux (donc non adaptés aux soins auprès du patient Covid19). Elle prépare son chariot et s’apprête à faire son tour pour les soins d’hygiène des patients.
Aucun circuit, aucune mesure mise en place dans le service, aucun dispositif devant les chambres des patients contaminés. Une seule procédure est mise en évidence dans le poste de soins : la procédure Covid-19 concernant la prise en charge du corps d’un patient décédé. Cette procédure que je trouve très déshumanisante où il est expliqué que le corps doit être très rapidement enveloppé dans deux housses fermées et envoyé à la chambre mortuaire sans présentation du corps à la famille ni même au personnel qui travaille à la morgue.
Je suis choquée par la situation et j’ai le cœur serré. Je dis à l’aide-soignante qu’elle ne peut pas travailler dans ces conditions, elle me répond : Je n’ai pas d’enfants alors je continue à bosser, puis on ne va pas abandonner les patients
. En faisant un tour rapide de l’unité, j’entends de nombreux patients avec une gêne respiratoire. Il y a un patient qui me semble très inconfortable sur le plan respiratoire. D’ailleurs, il n’est pas sous oxygène. Je lui prends ses paramètres vitaux : 38.7, il est fébrile. Dépassée par la situation, j’appelle un des cadres qui m’explique que, dans tous les cas, on est dans un service de gériatrie et au vu du contexte, les patients ne sont pas réanimables. Il m’explique qu’il est également dépassé par le manque de moyens, de personnel… Il me dit qu’il a fait tout son possible et qu’une deuxième aide-soignante va arriver pour aider ma collègue. Je lui dis que je trouve inacceptable le fait que les aides-soignantes qui sont au plus près du patient lors des changes ne soient pas munies de meilleures protections. Il m’explique qu’il a eu cette consigne : donner aux soignants des masques FFP2 seulement pour faire le prélèvement nasal lors du dépistage. Pour moi, c’est incohérent. Il me semble évident qu’une aide-soignante est plus proche d’un patient lorsqu’elle fait ses soins d’hygiène : elle doit le tourner, le patient s’agrippe à elle dans les transferts au lit... Lorsque je m’étonne de voir la patiente Covid-19 passer de chambre en chambre pour rendre visite aux patients, sa seule réponse, est : On ne peut rien faire, on a pas le droit de les attacher
.
Les aides-soignantes me relatent qu’elles trouvent les patients dans des états désastreux. Ils n’ont pas été changés, certains sont contentionnés alors qu’il n’y pas de prescription à ce sujet. Un sentiment d’impuissance m’envahit. J’ai l’impression d’avoir été propulsée dans un service que l’on a décidé d’abandonner. Les conditions de travail des soignants et la maltraitance des patients dans les services de gériatrie sont dénoncées depuis longtemps. Mais cette crise sanitaire accentue ce phénomène. Le droit de visite est interdit, le manque de personnel est catastrophique. Le strict minimum n’est pas assuré.
Durant cette nuit, j’ai espéré de tout cœur, égoïstement, qu’un patient ne décède pas car j’ai du mal à accepter la procédure de décès mise en place dans ces services. Procédure, qui sauf erreur de ma part, n’a pas été discutée avec les soignants qui doivent l’exécuter sans broncher.
* Alternative à l'Ehpad, l'unité de soins de longue durée accueille des personnes âgées physiquement très dépendantes, notamment sur le plan médical."
Dan Patrick, lieutenant-gouverneur du Texas (équivalent de vice-gouverneur), a estimé que les grands-parents, comme lui, devaient être prêts à mourir pour sauver l'économie du pays.
Invité lundi soir sur Fox News, il a assuré que le confinement de la population, et donc le ralentissement général de l'économie, était la plus grande menace pour les Etats-Unis."
Benzodiazépines / somnifères : "La généralisation du midazolam est-elle voulue pour tuer un maximum de vieux et aider la réforme des retraites de Macron ?
Nul besoin d'être un grand clerc pour comprendre que moins il y a de vieux, moins il y a de retraites à payer.
En 2014, le coût de la dépendance des gens âgés s'est élevé à 30 milliards d'euros, soit 1,4 point de PIB, dont 23,7 milliards sont financés par les pouvoirs publics. On estime qu'en 2060, ce coût approchera les 3%.
Sans aucun test, les médecins les déclarent mort du covid 19
"Les hôpitaux américains sont mieux payés pour qualifier la cause de décès de «coronavirus"
"Medicare détermine que si vous êtes admis à l'hôpital COVID-19, vous obtenez 13 000 $. Si ce patient COVID-19 utilise un ventilateur, vous obtenez 39 000 $, trois fois plus. "
"Le Dr Scott Jensen dit que l'American Medical Association "encourage" maintenant les médecins à surestimer les décès par coronavirus à travers le pays."
"abattre cette partie de la population"
"Les conditions de taux de mortalité élevés dans les foyers de soins ont-elles été créées exprès?"
"Big Pharma: Tout cela augmente le nombre de morts, ce qui à son tour augmente la peur de la population et donne envie aux gens de se faire vacciner"
Vidéo en anglais uniquement (car censuré youtube)
""Je vous dis littéralement qu'ils assassinent ces gens", dit Sirotek dans la vidéo terrifiante."
" je les regarde les tuer », a-t-elle déclaré."
"Une infirmière du Nevada qui s'est rendue à New York pour aider à soigner les patients COVID-19 a publié une vidéo Facebook Live en larmes affirmant que les patients ne meurent pas du virus, mais sont «assassinés» par «négligence grossière et mauvaise gestion médicale complète»"
En France, cela a du être pire encore : un massacre médical !
"La moitié des gens dans le service covid de l'hôpital, ne l'ont même pas"
"La ventilation les tue lentement avec toute la sédation"
Le seul qui s'en est sortie vivant est un toxicomane qui s'est enfui, car il s'est réveillé en cours de sédation !
Opération T4
Pas que les personnes âgées
"Le taux de mortalité au cours de cette pandémie de grippe en 1918 dans les hôpitaux allopathiques était de 26,7%,, le taux de mortalité pour les hôpitaux naturopathes était de 1%"
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français
Les vaccins contre la grippe ne servent a rien, mais tuent les personnes âgées !
"Aucune personne âgée ne devrait jamais recevoir un vaccin"
Un vaccin qui ne servira a rien !
Voici, sans doute, la raison pour laquelle les personnes âgées sont plus sujettes aux aggravations respiratoires que le reste de la population
Vos médicaments peuvent présenter un risque d'affaiblissement du système immunitaire et ainsi vous rendre plus vulnérable au covid19
"Les médicaments sont plus dangereux que le virus !"
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en allemand), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
MACRON et VERAN le voulaient : ils l'ont eu