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On drogue, on torture et on tue les vieux

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Vaccins et négationnisme des médecins

Une étude sur l’état d’esprit du personnel médical et des parents révèle que la majorité ont une grande confiance dans les autorités médicales gouvernementales. Loin de soupçonner les conflits d’intérêt, la collusion, le déni systématique des accidents vaccinaux et de leur dangerosité à long terme, les personnes interrogées sont convaincues pour la plupart que les politiques vaccinales reposent sur des études scientifiques solides et indépendantes d’intérêts commerciaux ou politiques. La croyance qui revient souvent est « qu’ils ne vont pas injecter à des enfants quelque chose qui n’est pas bon pour eux »
 
Néanmoins, les autorités sanitaires nationales et les professionnels de la santé continue à nier toute relation de cause à effet entre les vaccins contre le VPH et les EI

L'histoire des tragédies d'origine médicamenteuse contient malheureusement trop d'exemplesde nier la causalité entre un médicament et ses effets indésirables, tout en ignorant et endiscriminant même les victimes, jusqu'à ce que la causalité soit finalement établiehors de tout doute.

Le rapport de Tomljenovic montre que le JCVI a sciemment ignoré des études qui mentionnaient des effets secondaires graves, même s’il s’agissait de symptômes neurologiques chez de jeunes enfants. Par exemple, à la suite d’une discussion sur une proposition de surveillance de troubles neurologiques sévères en lien avec le vaccin de la coqueluche chez les jeunes enfants, le comité a considéré qu’il serait déraisonnable de demander aux pédiatres d’en faire état pour une période de six ans. Aussi, des cas de convulsions fébriles de plus de dix minutes, répétées sur une période de 24h et pouvant entraîner de sérieux handicaps dans 10% des cas, n’ont pas été considérés comme problématiques pour les membres du comité. Ils ont préféré retirer la mention « convulsion fébrile » de la liste des effets secondaires sous prétexte que le public n’en comprendrait pas la signification.
Pour des cas encore plus sérieux, tels que des morts subites de nourrissons à la suite de vaccinations, les rapports font état de causes de décès inexpliquées. Cependant, aucun examen pathologique sérieux n’a jamais été réalisé pour vérifier si la cause du décès pouvait être liée au vaccin. À cet égard, l’aveu de la Food and Drug Administration (FDA), l’organisme fédéral qui a le mandat d’autoriser la commercialisation des médicaments aux États-Unis, est éloquent : « Historiquement, l’évaluation de la sécurité des vaccins préventifs n’a souvent pas inclus d’études de toxicité sur des modèles animaux, parce que le vaccin n’est pas considéré comme toxique en soi » . L’innocuité prétendue des vaccins est donc bien fondée sur une croyance et absolument pas sur des faits scientifiques. Le déni systématique de toute donnée objective qui pourrait entacher la réputation des vaccins est d’autant plus grave que le comité s’est engagé dans une propagande active visant à augmenter la consommation de vaccins, voire à la rendre obligatoire dans certains cas.
 
Nous avions souligné déjà dans des posts anciens datant de janvier et de septembre 2010 nos inquiétudes concernant le dossier d'enregistrement du PANDEMRIX de chez Glaxo, notamment 7 décès inexpliqués, chose jamais vue lors de l'enregistrement d'un médicament, décès qui avaient été balayés d'un revers de main par les autorités en termes d'imputabilité au vaccin.
Des cas de narcolepsie ont été signalés depuis mais ont été mis par les pharmacovigilants sur le compte du hasard.
 
C’est un cas extraordinaire de négationnisme scientifique et médical. Donc, pour Agnès Buzyn, ex-salariée de Big Pharma, les travaux des Prs Chérin et Ghérardi relèvent des divagations des réseaux sociaux et non de la recherche scientifique de haut niveau sur la relation de cause à effet entre sels d’aluminium présents dans les vaccins et la maladie dite myofasciite à macrophages. Négation totale et entière de la souffrance de milliers de malades, de milliers d’autistes dont personne aujourd’hui n’est capable d’expliquer le pourquoi de l’épidémie et du comment soigner ces enfants lourdement handicapés ! Ces gens sont dangereux pour le peuple, de par leurs décisions irrationnelles et leurs liens d’intérêts avec l’industrie…
 
Non. Les ingrédients contenus dans les vaccins sont évalués avec soin, et leur sécurité est vérifiée.
 
"aucune étude ne prouve de lien avec des effets neurologiques et musculaires à long terme"
 
« L’étude menée conclut à l’absence de preuve d’un lien de causalité entre les vaccins (Cervarix, Gardasil) et le développement de SDRC ou STOP. Par conséquent, il n’y a aucune raison de changer la façon dont les vaccins sont utilisés ou de modifier les documents d’information. »
 
L'Académie de médecine française et l'Organisation mondiale de la santé rejettent également la relation causale entre vaccinations et autisme en s'appuyant sur une étude danoise faite à partir de l'analyse de 400 000 enfants sur une période de 30 ans (1971-2000). "L'analyse n'a pas montré d'augmentation de l'incidence de l'autisme pendant la période où des vaccins contenant du thimérosal étaient utilisés," 
 
Des experts internationaux et des travaux de recherche sont parvenus à la conclusion, de manière ne laissant subsister aucun doute, que les vaccins en général, et le vaccin contre la rubéole, les oreillons et la rougeole (MMR) en particulier, ne causent pas l'autisme.
 
NON, le vaccin ROR ne cause pas l’autisme
 
Le lanceur d’alerte du CDC, le Dr William Thompson a publié une déclaration officielle confirmant que l’étude originale avait montré un lien entre le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) et l’autisme, plus spécialement chez les enfants afro-américains, et que le CDC en avait caché les résultats.

Les morts des vaccins ne sont pas mort des vaccins !

Vaccin covid et négationnisme

Vaccins anti-Covid : Alexandra Henrion-Caude dénonce un « négationnisme des effets indésirables »

Les victimes des vaccins covid (comme les autres) n'existent pas !

Les vaccins causent l'autisme par robert Kennedy junior

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