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On drogue, on torture et on tue les vieux

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Thyroïde chez les plus de 60/65 ans

« on opère 80 % des gens pour rien quoi ? On est dans ce genre de chiffre »
« on a collé l’étiquette malade de la thyroïde à des millions de français qui se portaient très bien »
"Le Levothyrox, médicament prescrit aux patients en manque d'hormones thyroïdiennes, est au cœur d'une importante crise sanitaire. Mais derrière ce fiasco, se cachent des scandales moins médiatisés : la surprescription, le surdiagnostic de cancers et les ablations injustifiées de la thyroïde. En Suisse, le Pr. Nicolas Rodondi a prouvé qu'un traitement était inutile en cas d'hypothyroïdie légère (taux de TSH inférieur à 10 µU/ml). A Villejuif, dans le Val-de-Marne, le Pr. Martin Schlumberger reconnaît que la moitié des patients n'ont pas besoin d'être traités et que 85 % sont opérés... pour rien !"
Le traitement actuel d’une baisse de la fonction thyroïdienne chez les personnes âgées avec l'hormone de substitution lévothyroxine (Synthroid, Euthyral, Novothyral, Levothyrox, Euthyrox...) est inefficace pour diminuer les symptômes, selon une étude européenne publiée dans le The New England Journal of Medicine (NEJM).
 
Le cancer de la thyroïde, comme celui de la prostate chez les hommes de plus de 75 ans, est en effet très courant et, la plupart du temps, ne tue pas. S’il n’avait pas été diagnostiqué, la plupart des patients ne se seraient jamais aperçus de rien, et seraient morts d’une autre cause. Par contre, l’opération du cancer de la prostate provoque des problèmes d’incontinence et d’impuissance. En cas d’ablation totale de la prostate, ceux-ci apparaissent dans 93 % des cas, selon une toute récente étude danoise [3].
 
Plus de 500.000 personnes auraient été surdiagnostiquées…
L’épidémie de cancers de la thyroïde observée ces vingt dernières années dans certains pays serait en majorité due au surdiagnostic. Un cancer peu susceptible de provoquer des symptômes au cours de la vie d’une personne ou d’entraîner la mort aurait été détecté chez 500.000 personnes dans le monde.
Le Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC/IARC) basé à Lyon (Rhône), dont l’étude a été publiée jeudi dans le New England Journal of Medicine, a en effet évalué que plus de 470.000 femmes et 90.000 hommes auraient fait l’objet d’un surdiagnostic de cancer de la thyroïde en vingt ans et dans 12 pays développés (Australie Danemark, Angleterre, Finlande, France, Italie, Japon, Norvège, République de Corée, Ecosse, Suède et Etats-Unis).
En Australie, France, Italie et aux Etats-Unis, le surdiagnostic est évalué entre 70 et 80 % par les chercheurs, contre 50 % au Japon et dans les pays nordiques. Le Dr Salbatore Vaccarella, qui a dirigé l’étude, précise que l’exemple le plus frappant est celui de la République de Corée, avec 90 % des cas observés pouvant relever du surdiagnostic entre 2003 et 2007.
En outre, « la majorité des cancers surdiagnostiqués ont été traités par des ablations complètes de la thyroïde, souvent associées à d’autres traitements nocifs comme l’ablation des ganglions du cou ou la radiothérapie, sans bénéfices en termes d’amélioration de survie », déplore le Dr Silvia Franceschi, un des auteurs de l’étude.
Ces tumeurs sont en effet, la plupart du temps, des micro-cancers dont le pronostic est bon, avec une survie proche de 99 % à 20 ans. Selon les chercheurs, ces pathologies pourraient ainsi faire l’objet d’une surveillance rapprochée, mais sans traitements agressifs d’emblée
 
Il y a quatre mois, un groupe d’experts des autorités médicales  américaines a encore tiré le signal d’alarme. Après avoir examiné 67 études, ils ont conclu que « le dépistage du cancer de la thyroïde chez des personnes sans symptôme entraine des complications qui surpassent les bienfaits ». Car l’interventionnisme se solde très fréquemment par l’intervention chirurgicale. Il y a tout juste un an, dans  » ma lettre « massacre au bistouri, je vous ai dévoilé la face cachée de cette folie, à savoir des centaines de milliers de mutilations  de par le monde ! Rien qu’en France, ces 20 dernières années,  près de 50.000 personnes ont été opérées de la thyroïde inutilement. Cet immense gâchis ne serait pas devenu réalité si la hantise du nodule cancéreux n’était pas si répandue chez les généralistes et leurs patients. L’autre face de cette phobie, c’est la mise systématique sous médicament.  On ne le dit pas assez, mais le Levothyrox est une forme synthétique de la thyroxine, c’est-à-dire la principale hormone thyroïdienne. Ce n’est donc pas un produit qui soigne mais une substance qui se substitue à une sécrétion endogène. Et cette béquille chimique, loin de réapprendre à marcher,  devient rapidement indispensable.  Rien qu’en France, 3 millions de personnes suivent ce traitement et  en sont dépendants à vie, ce qui représente une mine d’or pour le fabricant.  Lisez cet article et vous prendrez  conscience que ce cercle infernal est, en soi,  un gigantesque scandale médical.  Son auteur, Michel Dogna, se demande si la menace de rupture de stock  et le début de psychose qui ont défrayé la chronique en 2016 n’étaient pas une manœuvre pour renforcer encore le monopole thérapeutique du Levothyrox. Je ne suis pas loin de partager ses soupçons.
 
La probabilité de détecter une anomalie de la thyroïde est élevée mais le risque que cette dernière cause un tort est faible, disent les chercheurs. Chez plusieurs personnes recevant un diagnostic de cancer de la thyroïde, ce dernier est d'une forme non agressive qui ne requière pas un traitement comportant en lui-même des risques.
 
Des médecins coréens appellent donc aujourd'hui à interdire le dépistage du cancer de la thyroïde, à la suite du Dr Hyeong Sik Ahn du Collège de Médecine de l'Université de Séoul, qui est le principal auteur de cette nouvelle étude
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Les nodules thyroïdiens, donc, sont de petites boules qui apparaissent très fréquemment dans la thyroïde : on estime qu’une personne sur 2 de plus de 50 ans en possède au moins un. De plus, ils sont 4 fois plus fréquents chez les femmes que chez les hommes. Mais dans la très grande majorité des cas, ces nodules ne causent aucun problème, y compris lorsqu’ils se présentent sous forme de kystes, c’est-à-dire remplis de liquide.
De plus, la taille du nodule n’a aucun rapport avec sa malignité (le danger pour votre santé). Si vous vous apercevez que vous avez une grosse boule, il n’y a donc pas plus de raison de vous inquiéter. Beaucoup de personnes vivent avec un nodule de 3 cm de diamètre (presque une balle de ping pong !) et ne s’en sortent pas plus mal.
 
[Mis à jour le 23 août 2017 à 15h45] « Ce qui m’a le plus fait peur, c’est quand ma vue s’est troublée et que j’ai eu des pertes de mémoire », témoigne dans Le Parisien l’une des quelques trois millions de personnes en France qui prennent du Levothyrox pour lutter contre leurs problèmes de thyroïde.
 
Aujourd’hui, elle se porte au mieux et ne prend plus de médicaments, en accord avec son médecin.
 
Vous allez découvrir que pour de très nombreuses personnes déclarées « malades de la thyroïde », une méthode naturelle, permet de régler définitivement le problème.
 
Laëtitia, 36 ans, décrit une « fatigue soudaine et brutale rendant le moindre effort insurmontable ». Pour Laurence, 55 ans, ces « coups de pompe intenses » se couplent à des problèmes de sommeil, « des insomnies » l’empêchant de « dormir plus d’une heure d’affilée ». Difficile dans ce contexte de s’imaginer « reprendre le travail dans quelques jours ». Un sentiment d’épuisement qui occasionne chez tous des « lacunes de concentration », « une forte irritabilité », « des émotions exacerbées », voire « des pertes de mémoire ». Hélène, 59 ans, confie, elle, « une baisse de la libido ».
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