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On drogue, on torture et on tue les vieux

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Androcur / Acétate de cyprotérone de BAYER : une catastrophe sanitaire ignorée / Hormones, anti-hormonaux.... victimes

extrait de Hormones, anti-hormonaux.... victimes

C’est une alerte doublée d’une équation sans solution. L’affaire est parfaitement exposée sur le site de l’Agence nationale de sécuriré du médicament (ANSM).
l’Androcur® présent sur le marché français depuis près de quarante ans (également commercialisé sous le nom générique d’acétate de cyprotérone). Ce médicament est un dérivé de la progestérone ayant des propriétés anti-androgéniques
 
Après le Mediator, les pilules de troisième génération, la Dépakine ou les implants contraceptifs, combien de crises sanitaires à venir ? Un rapport de 96 pages, remis ce 3 septembre à Agnès Buzyn et commandé après l'affaire du Levothyrox, pointe "l'absence d'anticipation" des autorités et le manque d'accompagnement des patients.
Une première alerte dès 2008
Un risque multiplié par vingt
 
Marlène Vault a pris durant 12 années de l'Androcur, un médicament hormonal dérivé de la progestérone. Ce traitement est à l'origine de son méningiome, tumeur cérébrale qui peut occasionner..
 
BFMTV
 
selon une nouvelle étude réalisée par l'Agence de sécurité du médicament (ANSM) et l'Assurance maladie, sur la durée, l'Androcur, prescrit en 2017 à 89.000 femmes en France, peut augmenter fortement le risque de tumeur au cerveau et en particulier de méningiome. Sur 25.000 femmes, l'étude a établi que pour une prise d'au moins trois grammes étalée sur plus de six mois, le risque de tumeur était multiplié par sept. Après cinq années de traitement, ce chiffre grimpe à 20, selon le rapport. 
 
ce médicament est dérivé de la progestérone dont l’action antihormonale s’oppose à l’action des hormones androgènes, comme la testostérone.
Malgré de tels effets déjà connus, on découvre aujourd’hui que des médecins prescrivent hors AMM ; la question de la justification de telles prescriptions est posée devant de de telles libertés.
ET quand bien même, les patients seraient demandeurs, le prescripteur reste le médecin, un professionnel sachant et responsable de ses décisions.

Traitements hormonaux et cancer du sein / les traitements hormonaux substitutifs (THS) provoquent les cancers du seins et des ovaires

Decapeptyl, enantone, lupron / Leuproréline / agonistes des hormones libérant la gonadotrophine / Castration chimique...victimes

pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse) : Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH. Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie, Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).
 
Ces enquêtes n’ont porté que sur l’Enantone. Si l’on pense au fait que les autres analogues agonistes GnRH (Décapeptyl, Synarel, Zoladex, Suprefact, Eligard, Bigoniste, Diphéréline, Lucrin, Lupron, Ginecrin, Prostap...) sont tout à fait semblables, ont le même mode d'action sur l'axe hypothalamo-hypophysaire-ovarien (ou testiculaire chez les hommes) et sur le réseau de neurotransmetteurs impliqués et ont les mêmes effet secondaires, les évaluations donnent le vertige..
Chacun de ces médicaments détraque - chez tout le monde - le système nerveux végétatif, avec des conséquences plus ou moins marquées, plus ou moins longues, sans que l'on puisse dire pourquoi certaines personnes réagissent plus fortement que d'autres. Compte tenu des fonctions du système nerveux végétatif (ou autonome), les réactions adverses peuvent intervenir n'importe où, ce qui donne un tableau tellement diversifié d'effets secondaires, que certains ont du mal à croire que tout peut venir d'un seul médicament: nodule ou maladie autoimmune de la thyroïde, urticaire, choc anaphylactique/allergique, accident vasculaire cérébral ou ischémie transitoire, embolie pulmonaire, pneumopathie, tendinites, douleurs musculaires, arthralgies ou douleurs articulaires, fractures, neuropathies et autres maladies neurologiques et neuromusculaires, troubles visuels (hémorragie de la rétine, rétrécissement du champ visuel, nerfs optiques endommagés par un oedème, etc.), troubles auditifs, maux de tête, migraines caractérisées, hypertension ou hypotension, battements du coeur ralentis ou au contraire accelérés (palpitations), infarctus, faiblesse musculaire ou au contraire raideur, spasticité, contractures (neuro)musculaires, vertiges, asthénie, fatigue chronique, dépressions, idées suicidaires ou au contraires épisodes d'euphorie et de manie, fibromyalgies, apoplexies ou hémorragies de l'hypophyse, tumeurs (adénomes) hypophysaires, mais aussi troubles hépatiques (du foie), troubles gastro-intestinaux allant des ulcères aux nausées, vomissements, constipations très fortes ou au contraire diarrhées... La liste est loin d'être exhaustive...
 
Les GnRHa sont une classe de médicaments appelés «analogues / agonistes des hormones libérant la gonadotrophine» (prescrits aux hommes, aux femmes et aux enfants pour diverses indications - voir «Liste AZ incomplète des« utilisations hors-étiquette » ). Il y a BEAUCOUP D'AUTRES GnRHa en dehors de Lupron - tels que Triptorelin (alias Trelstar, Décapeptyl, Gonapeptyl), Goserelin (alias Zoladex), Histrelin (alias Vantas, Supprelin), Nafarelin (alias Synarel), Buserelin (alias Suprefact, Suprecor). Notez les liens immédiatement à gauche identifiant la classification de Lupron / leuprolide comme un «médicament dangereux» (ainsi que la goséréline, Zoladex, triptoréline, Trelstar, Degarelix et Firmagon étant répertorié comme un «médicament dangereux»).
Que vous ayez reçu Lupron ou tout autre GnRHa, sachez que «les analogues de la gonadotrophine (GnRH) ne sont pas comme les autres médicaments actuellement disponibles pour le traitement de la maladie . Alors que nous continuons à en apprendre davantage sur les mécanismes d'action de ces analogues, il est de plus en plus évident qu'ils ne concernent pas seulement les hormones gonadiques, mais sont de puissants modulateurs de la fonction neuronale autonome
 
Le groupe pharmaceutique français Ipsen a annoncé lundi l’approbation dans 15 pays européens, dont la France et le Royaume-Uni, de son anti-cancéreux Décapeptyl dans le traitement de certains cancers du sein.
L’agence britannique du médicament (MHRA) a validé, pour le compte de ces quinze pays, l’utilisation du Décapeptyl (nom commercial de la triptoréline), en association avec d’autres molécules, pour traiter le cancer du sein “à un stade précoce chez des femmes non ménopausées” et présentant un “haut risque de récidive”,
 
Une étude clarifie les choses
 
En France, Androcur, comme le Salvacyl, dispose d'une AMM (autorisation de mise sur le marché) pour cette indication de prise en charge des délinquants sexuels. La leuproréline (laboratoires Takeda, nom commercial: Enantone) ou la triptoréline (Salvacyl injectable des laboratoires Beaufour Ipsen Pharma, substance active par ailleurs commercialisé sous le nom de Decapeptyl) dits "analogues de la GnRH", induisent une mise au repos de l'hypothalamus et ont pour effet une baisse de la sécrétion de la testostérone par les testicules.
 
La leuproréline est 80 fois plus puissante que l'hormone naturelle, mais elle agit de manière opposée: en utilisation chronique, elle bloque les récepteurs de la LHRH de la glande hypophysaire et, après une phase initiale de stimulation, elle désensibilise ces récepteurs.Il se produit ainsi une suppression réversible des gonadotrophines hypophysaires, suivie d'une diminution rapide des taux sanguins de testostérone, stoppant ainsi la croissance du cancer prostatique (en effet, celle-ci est habituellement stimulée par la dihydrotestostérone qui est formée à partir de la testostérone au niveau des cellules de la prostate)

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français

Androcur / Acétate de cyprotérone de BAYER : une catastrophe sanitaire ignorée / Hormones, anti-hormonaux.... victimes
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