30 Janvier 2017
source : parkinson sur ordonnances
Vaccins (adjuvant) et maladie de parkinson
Vidéo : Les sels d'aluminium (vaccins) à l'origine de certains cas de maladies de parkinson (à 10mn15)
Bêtabloquants
les médicaments qui engendrent le parkinsonisme
citalopram, prozac, déroxat....
antidépresseurs : des drogues dangereuses
Parkinsonnisme et maladie de parkinson associé a l'administration prolongé de sertraline
Nous rapportons le cas d'une femme, 81 ans, qui s'est présenté avec hemiparkinsonism après administration à long terme de la sertraline à une dose de 100 mg / jour.Cependant, sans nouvelle administration du médicament pendant 14 mois, la patiente a présenté la maladie de Parkinson, mais a bien répondu à la lévodopa.
Les ISRS peuvent engendrer des effets sur la fonction motrice et des complications à long terme semblables à ceux des anti-psychotiques
La marchandisation de la dépression
Richard Abrams, M.D., professeur de psychiatrie, a mis en évidence que « Les antidépresseurs tri-cycliques sont chimiquement des modifications mineures de la chlorpromazine [Largatil] et furent introduits comme des neuroleptiques potentiels » (in: B. Wolman, The Therapist’s Handbook (Le manuel du thérapeute), op. cit., p. 31).
médicaments psychiatriques : traitements ou charlatanisme ?
le parkinsonnisme induit par les antidépresseurs ISRS peut-être un signe précosse de la maladie de parkinson a venir
Ces dernières années, il ya eu plusieurs rapports de cas de symptômes extrapyramidaux à la suite d'un traitement par inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) 1-4 Ces symptômes comprennent la dystonie, akathisie, parkinsonisme
Une enquête sur l'utilisation des antidépresseurs dans la maladie de Parkinson.
Les résultats de cette étude indiquent qu'environ 26% des patients atteints de la maladie de Parkinson (MP) sont donnés des médicaments antidépresseurs, qui consistent, dans plus de la moitié des cas, de recaptage de la sérotonine (ISRS). Quarante-trois pour cent des médecins du Parkinson Study Group s'est montré préoccupé que l'utilisation des ISRS peut induire une aggravation de la fonction motrice chez les patients parkinsoniens, et 37% des médecins avaient au moins un patient dans lequel ils croyaient aggravation s'est produite.
"Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires." antidepressants facts
on livre Psychiatric Drugs: Hazards to the Brain(Médicaments Psychiatriques: Dangers pour le cerveau), le Dr. Breggin appelle les soi-disant antidépresseurs « Des neuroleptiques déguisés » (p. 166)
Benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques
L'utilisation d'antidépresseurs ou d'anxiolytiques était liée au développement de la maladie de Parkinson chez les femmes de 65 ans et plus, selon une étude américaine.
Anticholestérols
anticholestérol et maladie de parkinson
Une étude réalisée il y a quelques années montrait qu’avec un suivi de plusieurs années, le traitement anticholestérol augmente, triple quasiment, le déclenchement de la maladie de Parkinson. D’autres auteurs d’autres études avaient écrit le contraire. Ce qui est logique, puisque dans les autres études, ce qui était mesuré, c’était la protection d’un cholestérol élevé par rapport au Parkinson, à court terme.
un apport en cholesterol élevé permet de réparer les cerveaux endommagés
une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s'avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d'un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l'apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.
Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d'Alzheimer
témoignage : traité dans les années 2004/2005 pour le cholestérol mon mari a souffert rapidement de douleurs insupportables dans les cuisses. Puis son pied s'est mis à trembler. On lui a diagnostiqué un syndrome de Parkinson. Il prend des médicaments depuis 2006. Cette année il n'est pas bien du tout, trop d'effets secondaires, il a fait 2 épisodes de délires et de confusions, et voilà qu'on me dit maintenant "on n'est pas sûre du diagnostic".
Ainsi on aurait fait prendre des médicaments à mon mari depuis 2006 pour une maladie qu'il n'aurait pas et qui petit à petit le conduise vers une maladie d'alzheimer ???
Purement hallucinant.
Les statines (anticholesterol) engendrent le parkinsonnisme / syndrome parkinsonien (entre autres)
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"Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale"
Neurotoxiques : Les vraies causes des maladies neurodégénératives ne sont pas prises en compte
les maladies d'Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l'autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu'elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l'alimentation, l'air, l'eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu'au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons).
Pesticides, médicaments, insecticides, psychotropes....et neurotoxiques
Tout sur les neurotoxiques
Poison : Neurotoxiques (Inhibiteur de la jonction synaptique …)
Des médicaments dangereux pour les aînés
Antidépresseurs, antitussifs, antihypertenseurs, diurétiques, antiépileptiques... La liste est longue et fait froid dans le dos: 70 médicaments (PDF) représenteraient un danger pour les personnes âgées, selon les résultats d'une étude publiée à la fin du mois de juin. Ils provoqueraient différents effets secondaires, comme des troubles de l'équilibre, de la vision ou de la mémoire, ou encore des faiblesses musculaires, qui pourraient être à l'origine de chutes, parfois mortelles, pour les personnes du troisième âge.
...Vingt pour cent des patients qui prenaient les médicaments en question sont décédés, contre 7 % de ceux qui n’en prenaient pas
Les neurotoxiques, nouveau scandale sanitaire
Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.
« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI… »
Parkinson : Le lien avec les pesticides officiellement reconnu
Grâce à un décret du ministère de l’Agriculture qui est entré en vigueur jeudi, le lien entre la maladie de Parkinson et l'utilisation de pesticides est désormais officiellement reconnu.
Pesticides, médicaments, toxiques, armes chimqiues, psychotropes...et neurotoxiques
Informations sur les neurotoxiques
condamnation de Monsanto
Herbicide 2,4,5-T a été éliminé à la fin des années 1970. La dioxine est le produit chimique le plus dangereux connu et a un 100 ans et demi-vie où lessivé dans le sol ou intégrés dans des systèmes d'eau.L'Administration des anciens combattants reconnaît et verse sur l'agent orange réclamations pour blessures qui incluent le cancer, des malformations congénitales chez les enfants des victimes exposées, leucémie, maladie du foie, des maladies cardiaques, la maladie de Parkinson, le diabète et la chloracné.
maladie de parkinson
L'exposition aux pesticides augmenterait le risque de près de 70 % : 5 % des personnes exposées aux pesticides risqueraient de développer la maladie contre 3 % pour la population générale13. Cette maladie est effectivement plus fréquente en milieu rural qu'urbain. Un modèle animal confirme la responsabilité d'un pesticide dans la constitution d'un syndrome parkinsonien14. Les organochlorés seraient les premiers responsables (risque jusqu'à 2,4 fois plus élevé que la normale). Le risque est multiplié par trois si certains pesticides sont associés15. En France, la Sécurité sociale a reconnu en 2006 un cas de maladie de Parkinson comme maladie professionnelle pour un ancien salarié agricole16. Depuis le 7 mai 2012, le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides est officiellement reconnu par l'État français17,18. Le risque pourrait doubler en cas d'exposition à certains pesticides, tels que la roténone ou le paraquat, et herbicides, tel que l'agent Orange11,19,12.Une étude sur l'agent Orange a retrouvé que certains facteurs d'exposition indirecte aux pesticides, par exemple la vie en milieu rural, augmentaient également le risque12.
De récentes études épidémiologiques suggèrent que les pesticides pourraient contribuer au développement de maladies neurodégénératives, comme les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Au sein de la famille des pesticides, les insecticides sont souvent les plus incriminés pour leur caractère neurotoxique. Néanmoins, leurs mécanismes de neurotoxicité et leur impact en santé publique demeurent largement inexplorés. Parmi les molécules les plus étudiées, la roténone et le paraquat perturbent principalement la fonction bioénergétique mitochondriale, les équilibres redox, le métabolisme des espèces réactives oxygénées, et ils promeuvent l’agrégation de l’α-synucléine. Par ailleurs, de nouvelles études suggèrent un rôle important de la susceptibilité génétique, soit dans le cas de formes héréditaires rares de la maladie de Parkinson, soit de manière plus générale par le biais de polymorphismes des enzymes métabolisant les pesticides, comme cela a été récemment illustré pour les pesticides organophosphorés.
La plupart des pesticides et 90% des insecticides sont des neurotoxiques
«Pour ces quinze maladies, le lien est établi de manière forte. Et pourtant, une seule, Parkinson, est reconnue maladie professionnelle par la MSA [Mutualité sociale agricole, NDLR], note le médecin. En France, la première véritable étude date de2006. On a du retard à l’allumage. C’est une sorte de cécité sinon organisée, du moins tolérée.»
neurotoxiques
médicaments, pesticides, armes de destruction massive, psychotropes, insecticides.....
neuroleptique : l'histoire
par robert Whitaker
Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
by Robert Whitaker
Une histoire des neuroleptiques
Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13
Histoire préclinique
1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.
1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.
1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.
1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.
Histoire clinique : les neuroleptiques classiques
1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.
1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.
1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés " dyskinésie tardive ".
1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.
1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.
1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.
1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.
1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.
1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.
1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou "lésions cérébrales postencéphaliques ".
1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.
1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.
1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.
1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés " psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques ".
1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.
1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.
1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.
1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.
1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.
1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.
1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.
1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.
1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.
1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.
1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.
1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.
1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.
1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.
1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.
1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.
1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.
1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.
1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.
2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.
2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.
Chez 71% des patients un traitement neuroleptique n’a pas été abandonnée en dépit de l’apparition des symptômes parkinsoniens. Ces données indiquent que les symptômes extrapyramidaux de parkinsonisme sont une complication fréquente du traitement neuroleptique.
Comment "fonctionnent" les neuroleptiques ?
Les neuroleptiques (également appelés "antipsychotiques") agissent sur les neurones, ces cellules formant le cerveau et le système nerveux.
Les neurones communiquent entre eux grâce à des molécules, les neurotransmetteurs, qui font office de "messagers" en sautant d'une cellule à l'autre à très grande vitesse.
Chaque neurone possède des "récepteurs", qui permettent de recevoir des molécules, ainsi que des "émetteurs", qui envoient une autre molécule au neurone suivant.
Les neuroleptiques agissent en bloquant partiellement la réception d'un des neurotransmetteurs les plus importants, la dopamine (Les neuroleptiques dits "atypiques" agissent également sur les récepteurs d'une autre molécule, la sérotonine). Les molécules du médicament viennent se placer sur une partie des récepteurs, les empêchant de recevoir les molécules de dopamine. Jusqu'à 70% de ces récepteurs peuvent être bloquées lors d'un traitement à doses élevées.
L'intensité des impulsion nerveuses, et, donc, des sentiments (peur, colère, joie...), est ainsi diminuée.
Mais les neurones réagissent au traitement: de nouveaux récepteurs à la dopamine peuvent apparaître durant le traitement ce qui cause de sérieuses difficultés au sevrage se traduisant pas une hypersensibilité intolérable.
Les neuroleptiques sont généralement prescrits sur une longue période, souvent à vie. Pourtant, leurs effets indésirables sont nombreux: difficultés de coordination, troubles de concentration, prise de poids, tremblements.
Certaines séquelles peuvent être définitives, la plus connue étant la dyskinésie tardive, qui se traduit notamment par des contractions involontaires et incontrôlables de la langue et du visage.
Les aspects désagréables d'un traitement aux neuroleptiques sont tels que ces médicaments ne devraient être administrés qu'en cas de nécessité absolue - or, c'est le contraire qui se passe actuellement.
Les neuroleptiques sont parfois administrés à titre préventif, à une personne dont un psychiatre croit qu'elle pourrait développer une psychose. Cette pratique est très contestable. En effet, les effets indésirables du neuroleptique sont tels qu'ils peuvent rendre la personne malade.
syndrome extrapiramidaux (1999)
Cette étude a évalué la prévalence des signes de syndrome extrapyramidal (EPS) (akathisie, dystonie et de parkinsonisme) dans une cohorte de 1559 patients traités par anti-psychotiques. EPS était présente dans environ 30% des patients, 65% de ces patients présentant des signes de parkinsonisme tels que la rigidité, des tremblements et une lenteur des mouvements. Ces données indiquent un taux élevé de graves et invalidantes effets indésirables associés à l'utilisation des neuroleptiques.
Neuroleptique et sujet âgé : attention au risque de syndrome parkinsonien !
Selon une étude récente, le syndrome parkinsonien peut apparaître chez 32% des seniors traités par cette famille de médicaments, même à très faible dose
les antipsychotiques n’ont pas l’action antipsychotique spécifique mais simplement induisent des degrés divers de la maladie de Parkinson
le mythe de la cure chimique
Mourir sur ordonnance
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage :
« Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : - Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1]
Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Antihistaminiques
Pakinson
"...Tout d'abord je tiens à attirer votre attention sur le cas de M. Keith Andrews de Oldham. M. Andrews est de 74 ans et un ingénieur à la retraite. Il a été involontairement accro à tranquillisants prescrits pour 45 ans. Il a été diagnostiqué avec la maladie de Parkinson et a passé plus de 10 semaines récemment, un patient hospitalisé dans un hôpital psychiatrique à un coût pour le service de santé d'environ 5000 £ par semaine. La clinique de retrait de tranquillisant à Oldham, fourni par le Service alcool et de drogues (ADS) et financé par le Primary Care Trust, a identifié M. Andrews comme souffrant de toxicomanie et les effets secondaires de tranquillisants et ont pris en charge dans le retrait. M. Andrews "Parkinson" a disparu, il n'était pas du tout mais mal diagnostiqués les effets secondaires de tranquillisant de Parkinson..."
Parkinson
"...Autres effets secondaires tranquillisants observée comprennent dysfonctionnement de la thyroïde (Int J Nucl Med Biol 1984; 11: 203-4, parkinsonisme (Biol Psychiatr 1985; 20: 451-60), des dommages au foie (Drg Dis donc, 1982; 27: 470 . -2) et le cancer (Natl Toxicol Prog Rep, USA, 1993) La recherche montre également une augmentation de 17 fois dans l'infarctus du myocarde mortel associé avec des médicaments psychotropes (Lancet, 1992; 340: 1067-...."
"...Mon ami Simon est mort l'an dernier à l'âge de 35 ans, après 15 ans de retraits douloureux. Plus de six pieds de haut, il ne pesait que six pierre. Son autopsie a montré un gonflement et marqué la pâleur de l'ensemble du cerveau, en particulier la substantia nigra, la région affectée dans la maladie de Parkinson..."
Troubles du comportement observés avec des médicaments dopaminergiques (sifrol, adartrel, requip)
Des troubles du comportement (dépendance aux jeux, comportements répétitifs, achats compulsifs, hypersexualité) ont été rapportés chez des patients traités par des médicaments dopaminergiques indiqués essentiellement dans la maladie de Parkinson
parkinson et addiction aux jeux
sifrol et compagnie, témoignage victime
Les médicaments
en cas de parkinson
80% des parkinsons deviennent alzeihmer au bout de quelques années de traitement
Nous explique cette internaute
Alzheimer sur ordonnances
les médicaments anticholinergiques et autres
La dyskinésie (mouvements involontaires) est l’un des effets secondaires
Après des années d’utilisation, elle peut être associée à un épuisement de l’effet thérapeutique en fin de dose
Inhibiteur de la recapture de la dopamine
Benzatropine, Dextrométhorphane
La benzatropine ou mésilate de benzatropine (DCI), mésylate de benztropine ou benztropine (USAN), commercialisée sous le nom de Cogentin, est un médicament anticholinergique
Le dextrométhorphane est l'isomère dextrogyre du lévométhorphane (qui lui est un opiacé), mais il ne possède aucune action opioïde, bien qu'il possède la structure de la morphine. C'est en revanche un antagoniste du récepteur NMDA, autrement dit un dissociatif. Il est utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes, à forte dose, et est alors couramment dénommé DXM.
Agonistes dopaminergiques
Les agonistes dopaminergiques stimulent les récepteurs dopaminergiques. On peut distinguer les agonistes à effet périphérique dominant qui pénètrent mal dans le cerveau, et les agonistes à effet central dominant qui pénètrent bien dans le cerveau.
Artane
Le trihexyphénidyle est un anticholinergique muscari nique de synthèse commercialisé sous le nom d'Artane ® en France. Il possède le plus important potentiel d'abus et de dépendance parmi sa classe.
L'Artane est considéré comme l'ecstasy des pauvres. Consommé avec de l'alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l'individu au passage à l'acte
Artane
Ce médicament est un antiparkinsonien qui appartient à la famille des anticholinergiques (atropiniques). Il est utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson et des syndromes parkinsoniens induits par les neuroleptiques.
antiparkinsoniens
Dopaminergiques / Anticholinergiques
Maladie de Parkinson. - Syndromes parkinsoniens induits par les neuroleptiques.
Anticholinergiques
drogues et dépendances
anti-cholinergiques
neurotoxiques
Les Parkinsoniens par exemple ont servi de cobayes multiples pendant les 20 dernières années1. Disons que cette affection tend à devenir plus grave qu’avant, en raison même des traitements appliqués (à supposer que cette « maladie » elle-même ne soit pas purement et simplement un effet secondaire iatrogène). Ainsi, les principaux traitements ont des effets secondaires connus de troubles digestifs, mais surtout de troubles psychiques. A tel point que l’on donne des antipsychotiques aux malades atteints de Parkinson pour contrer ces effets secondaires2. Par ailleurs, un psychiatre de Ste Anne confiait il y a une dizaine d’année que les électrochocs sont parfois appliqués pour « guérir » les Parkinsoniens, ce que confirme Wikipedia, sachant que les électrochocs doivent être suivis de traitements psychotropes, et que certains neuroleptiques provoquent quand à eux des syndromes Parkinsoniens, etc., etc. Or, j’ai connu un Parkinsonien qui, par une simple modification de son alimentation et de compléments alimentaires, avait réduit ses symptômes de 75%, sur quoi il a arrêté tout médicament avec l’accord de son médecin traitant. J’en ai connu un autre qui est devenu (fortement) Parkinsonien du jour au lendemain – à vie -, pendant son premier traitement pour dépression.
SOLUTION ?
CYP2D6 polymorphisme, l’exposition aux pesticides et la maladie de Parkinson.
La pharmacogénétique détermine la capacité fonctionnelle de chaque personne à métaboliser et d’excréter les médicaments prescrits; l’efficacité des médicaments est déterminé par les variations génétiques humaines naturelles qui influencent peuples réponse aux médicaments. Les médicaments psychotropes sont métabolisés à travers différents sites et systèmes dans le corps. Un site majeur est le CYP 450 Cytochrome famille, que l’on trouve principalement dans le foie. 75% de tous les médicaments psychotropes sont métabolisés par le CYP2D6 et 15% par la voie de CYPC19. La pharmacogénétique a été connu et utilisé par les compagnies pharmaceutiques pour de nombreuses années. Les essais de médicaments sont menées sur les personnes qui sont spécifiquement sélectionnés pour leur efficacité pour métaboliser chaque médicament spécifique. Cela permet aux entreprises pharmaceutiques de montrer le meilleur résultat possible pour le nouveau médicament; cela a le potentiel pour réduire au minimum les effets indésirables et d’effets secondaires.
Trente-cinq pour cent sont porteurs d’un allèle CYP2D6 non-fonctionnelle, donc avec un risque particulierement élevé de réactions indésirables aux médicaments lorsque ces individus prennent plusieurs médicaments … Cela signifie que potentiellement jusqu’à 1 milliard de personnes sur la planète ne peuvent pas métaboliser et éliminer les médicaments couramment prescrits de leur corps « . Les antidépresseurs sont parmi les drogues les plus dangereuses disponibles Les dernières décennies ont été marquées par un immense travail de con par l’industrie pharmaceutique industrie. Cette déception n’a pas seulement vous, le consommateur ciblé, mais aussi le gouvernement organismes comme la FDA et les médecins sans méfiance qui croient vraiment qu’ils aident leurs patients par les antidépresseurs et d’autres médicaments de prescription. Ces traitements ont été commercialisés comme sûr et efficace, alors qu’en réalité, ils ne sont pas. Il semble que les antidépresseurs et antipsychotiques (aussi appelés neuroleptiques) sont peut être parmi les médicaments les plus dangereux de tous. Les médicaments antidépresseurs provoquent 40000 décès par an, mais ils sont distribués comme des bonbons aux adultes comme aux enfants.
Le polymorphisme génétique du cytochrome P450 2D6 : le Bon, l’Ultrarapide, l’Intermédiaire et le Lent Les cytochromes P450 (CYP) sont un groupe d’iso-enzymes localisées pour l’essentiel dans le réticulum endoplasmique des cellules hépatiques. Ils catalysent l’oxydation ou la réduction de substances lipophiles endogènes …(médicaments),
Akathisie et homicides liés aux antidépresseurs induites / associées à des mutations dans les gènes qui métabolisent la diminution de la famille CYP450
ignorant une telle solution évidente est porter atteinte aux droits fondamentaux de l’homme
fibromyalgie : Le dénominateur commun des personnes souffrant de symptômes de fibromyalgie est un métabolisme anormalement lent.
Messages destiné aux jeunes parkinsoniens, sans tremblement ou sans raideur musculaire, mais avec tous les autres signes du Parkinson, qui pourraient comme moi, être l'objet d'une erreur.
Je voudrais vous faire partager mon expérience.
54 ans aujourdhui. Diagnostiquée Parkinson en juin 2010, soignée à l'azylect puis sifrol 0,26 puis sifrol 0,52 (un an après, alors que mon neurologue avait au début prévu le même médicament pendant 5 ans) remplacé par glissement (parce que je souffrais terriblement des pieds), par neupro 6 en Mars 2013, puis neupro 6 + simenet 1/2 :
Un oubli de neupro le 15/07/2013, la sensation de me sentir mieux. Je ne réalise mon oubli qu'au patch suivant l'arrêt du neupro, j'arrête et je préviens mon neurologue , qui m'augmente à 1 simenet en 3 prises avec toujours azylect . Surdose au simenet.
Arrêt spontané du simenet pour éliminer: je me sens tellement mieux sans, que je décide d'arrêter aussi l'azylect le 29/07/2013 : problèmeb de sevrage : deux nuits de mouvements involontaires ! Je revis ! ERREUR DE DIAGNOSTIC qui m'a fait subir des effets des médocs pendant 3 ans, et qui aurait pu d'après ce que je lis, me rendre grabataire en quelques années ! Maintenant, sept semaines après, je continue d'élimer les médicaments ! Mais tout va mieux !
maladies induite par les médicaments (et surtout par les distributeurs)
Chaque année, plus de 9,6 millions d'effets indésirables se produisent dans les anciens Américains. Une étude a révélé que 37 pour cent des effets indésirables chez les personnes âgées n'ont pas été signalés au médecin, sans doute parce que les patients ne se rendent pas compte les réactions ont été dus à ce médicament. Ce n'est pas très surprenant compte tenu du fait que la plupart des médecins avoué ne pas expliquer les effets négatifs possibles à leurs patients. 1
Nous avons fondé la suite des estimations nationales sur le bien-mené des études, principalement aux Etats-Unis:
Un grave problème existe parce que les deux, médecins et les patients ne se rendent pas compte que pratiquement tout les symptômes chez les personnes âgées et beaucoup de jeunes adultes peut être causée ou aggravée par la drogue. 12 Certains médecins et les patients du principe que ce sont en fait des réactions indésirables aux médicaments sont tout simplement des signes de vieillissement . En conséquence, de nombreux effets indésirables graves sont totalement négligés ou non reconnus jusqu'à ce qu'ils aient causé des dommages significatifs.
Les médicaments responsables des plus graves effets indésirables chez les personnes âgées sont les tranquillisants, somnifères et autres affectant l'esprit drogues; médicaments cardiovasculaires comme l'hypertension artérielle médicaments, de la digoxine, et médicaments pour troubles du rythme cardiaque, 13 et médicaments pour traiter les problèmes intestinaux .
Mentale Réactions des effets indésirables des médicaments: la dépression, des hallucinations, confusion, délire, perte de mémoire, altération de la pensée Système nerveux Adverse Drug Reactions: parkinsonisme, des mouvements involontaires du visage, des bras, des jambes (dyskinésie tardive), dysfonctionnement sexuel Des effets indésirables des médicaments gastro-intestinaux indésirables: perte d'appétit, la constipation Les problèmes urinaires: difficulté à uriner, des fuites d'urine Étourdissements permanent du Règlement avec parfois pour conséquence des fractures de la hanche Automobile accidents qui ont fait des blessés |
Femme à domicile en raison d'une misprescribed cœur de drogues
Liz, 54 ans, a été prescrit un médicament pour le coeur amiodarone (Cordarone) pour traiter une affection cardiaque. Elle n'a pas été dit que le médicament n'a pas été approuvé par la FDA pour son état. La pharmacie notice mentionné les nausées et les étourdissements que des effets indésirables, mais pas de toxicité pulmonaire.Elle est maintenant en fonction d'une citerne d'oxygène pour respirer et ne possède pas la force de sa propre maison.
L'homme développe le parkinsonisme du fait des antipsychotiques prescrits pour "le syndrome du côlon irritable"
L arry a été en bonne santé à 58 ans souffrant de diarrhée l'homme croit être malade en raison du «syndrome du côlon irritable." Il a reçu trifluopérazine (STELAZINE), un antipsychotique puissant, afin de "calmer" son tractus intestinal. STELAZINE n'est pas encore approuvé pour traiter ces problèmes de santé. Six mois après le début de STELAZINE, Larry développe des symptome graves de Parkinson, une affection neurologique caractérisée par des tremblements, des mouvements limités, rigidité et instabilité posturale. Pour corriger cette situation, Larry a commencé sur la L-dopa (également connu sous le nom de la lévodopa), un médicament pour traiter la maladie de Parkinson. Vraisemblablement, le médecin ne s'est pas rendu compte la parkinsonisme a été induite par le médicament et la STELAZINE s'est poursuivie. Depuis sept ans, Larry a pris ces deux médicaments jusqu'à ce que de voir un spécialiste de la maladie de Parkinson. Le spécialiste reconnu la véritable cause de son problème, stoppe la STELAZINE, et se retire peu à peu la L-dopa sur une période de six mois.Larry's graves, parkinsonisme désactiver complètement dégagé.
Le même spécialiste de la maladie de Parkinson qui "guéri" de sa Larry Drug-induced parkinsonisme vu, dans tout juste trois ans, 38 autres patients à la drogue induit parkinsonisme et 28 de la drogue-induite dyskinésie tardive, un syndrome de mouvements involontaires.
Aucun de ces patients étaient psychotiques, l'une des conditions pour lesquelles les médicaments antipsychotiques sont approuvés. Au contraire, les raisons les plus courantes d'utilisation des inducteurs de parkinsonisme drogues étaient l'anxiété chronique et troubles gastro-intestinaux. Le plus souvent coupable (dans 19 de ces 39 patients) a été REGLAN, généralement prescrits pour les brûlures d'estomac ou de nausées et de vomissements. Les médecins prescrivent souvent des REGLAN avant d'essayer d'autres plus conservateurs et plus sûres. D'autres médicaments qui introduit le parkinsonisme inclus prochlorpérazine (COMPAZINE), l'halopéridol (Haldol) et la chlorpromazine (THORAZINE) 14.
Le saviez-vous? |
Drug-induced parkinsonisme Chaque année, 61000 personnes âgées de développer Drug-induced parkinsonisme. Au moins 80 pour cent d'entre eux, à l'instar de Larry, n'aurait jamais dû être mis sur les médicaments provoquant la parkinsonisme, en premier lieu. Aussi, comme dans la situation de Larry, une grande partie de ces personnes ont les médecins qui pensent que leurs patients parkinsonisme développés spontanément. Le problème est double. Les médecins ne parviennent pas à croire que l'état est causé par un médicament comme STELAZINE ou d'autres drogues comme le métoclopramide (REGLAN), prochlorpérazine (COMPAZINE) ou la prométhazine (PHENERGAN). Puis ils ajoutent un deuxième médicament pour traiter la maladie qui a effectivement été causé par le premier médicament. |
La confusion et les hallucinations causées par l'ulcère de drogues
. Leticia a écrit au Public Citizen au sujet de son 80-year-old père, en disant qu'elle avait à maintes reprises demander à son médecin quant à l'éventuel rôle de son père l'ulcère de la drogue dans une source de confusion et d'hallucinations avant le médecin écouté. Son père avait essayé trois médicaments différents - la cimétidine (Tagamet), la ranitidine (ZANTAC) et la famotidine (PEPCID) - pour ses ulcères, et chacun d'entre eux avait causé ces effets secondaires. Lorsque le médecin est passé finalement le père de Leticia à un antiacide - l'hydroxyde d'aluminium et d'hydroxyde de magnésium (Maalox) - son esprit complètement vidés et il était son ancien soi-même, ne sont plus confus ou hallucinations.
Femme développe réversible mentale de tranquillisant
La première fois 79-year-old Sally médecin a vu son beau-fils, après plusieurs mois, il a noté qu'elle avait subi de graves atteinte à son esprit autrement forte. Elle était confuse et, pour la première fois de sa vie, n'a pas réussi à équilibrer ses conséquences financières. Quand il a remis en question, elle a été en mesure de se rappeler que son problème a commencé au moment où elle a été mis sur le tranquillisant lorazépam (Ativan). Après ce lien a été découvert, le médicament a été lentement abandonné et le handicap mental disparu.
L'homme a accident automobile après une dose de tranquillisant
Ben, 64 ans, devait avoir une biopsie faite à un hôpital local, un matin. Le médecin lui a donné un échantillon gratuit d'un tranquillisant, l'alprazolam (Xanax), de prendre une heure environ avant la procédure afin qu'il serait assouplie pour la biopsie. Ben n'a pas été informé qu'il ne doit pas utiliser le médicament s'il allait à conduire. Pendant la conduite à l'hôpital pour la biopsie, il a noirci. La voiture est passé au-dessus une clôture et durable convient de 6000 $ de dommages, mais heureusement Ben est indemne. (Voir les médicaments qui peuvent causer des accidents automobiles.)
Dangereusement lent rythme cardiaque avec le propranolol utilisation chez les personnes âgées
Shara, une de 60 ans, assistant à une des seniors centre, a été lancé sur le propranolol (Inderal, Inderal LA) pour traiter son hypertension artérielle. Malheureusement, son médecin ne s'est pas rendu compte que la dose de ce médicament parfois utile doit être réduite chez les personnes âgées, la dose et elle a été prescrit était trop élevé pour elle. Deux jours après, elle a commencé à prendre le médicament, elle a commencé à se sentir très faible. L'effet secondaire était si mauvaise que le troisième jour sur la drogue, elle se rend à une salle d'urgence de l'hôpital, où son pouls était de 36 battements par minute.Ce faible taux dangereusement expliqué pleinement sa faiblesse. Le médicament a été arrêté, Shara et de la fréquence cardiaque est revenue à la normale.Plus tard, une faible dose d'un autre médicament a été prescrit et produit pas d'effets secondaires.
Enfant meurt du médicament prescrit pour Attention Deficit Hyperactivity Disorder
Jamal, un brillant 7-year-old boy, a été prescrit un antidépresseur, l'imipramine (Tofranil), pour traiter Attention Deficit Hyperactivity Disorder. Ses parents n'ont pas été fournis avec une totale, des informations précises sur la drogue. . En conséquence, ils ne savaient pas que la drogue peut provoquer la vie en danger les irrégularités des battements cardiaques (arythmies appelé), que la dose prescrite à Jamal était trop élevé et que les tremblements et convulsions que Jamal a commencé à avoir effectivement des effets secondaires du Tofranil. Le traitement avec le médicament a été poursuivi, et un jour, à l'école, il s'est effondré et est mort d'une arythmie.. Si ses parents avaient été suffisamment mis en garde contre ce médicament, Jamal peut-être encore en vie aujourd'hui.
L'Organisation mondiale de la santé, en examinant le problème des effets secondaires chez les personnes âgées, a fait état de certains principes applicables aux personnes de tous âges:
Très souvent, l'histoire et l'examen clinique des patients avec des effets secondaires révèlent qu'aucune indication valable [Objet] pour l'infraction de drogues a été présent ...Les effets indésirables peuvent dans une large mesure, être évitée chez les personnes âgées par le choix de médicaments sûrs et efficaces et son application thérapeutique en prescrivant des principes, comme en commençant par une petite dose, en observant le patient fréquemment, et d'éviter les trop polypharmacie [l'utilisation de plusieurs médicaments à en même temps] 15.
En d'autres termes, les patients qui souffrent de réactions indésirables aux médicaments sont très souvent victimes de la drogue qu'ils n'auraient pas dû être prise de manière que la première place.
En 1992, une étude publiée dans les soins médicaux examiné prescriptions donné que des gens ont été déchargées d'un hôpital communautaire. L'accent a été mis sur les qui ont été prescrit de trois ou plus de médicaments pour traiter les maladies chroniques 16.
Les résultats de cette étude sont tout à fait préoccupante, tant en ce qu'ils disent de l'ordre des médecins les pratiques de prescription et à titre de preuve des dommages potentiels que ces pratiques de prescription peut faire pour les personnes âgées. Sur les 236 personnes étudiées:
Heureusement, un pharmacien conseil impliqués dans la prise en charge de plus de la moitié de la population a été en mesure de réduire les risques pour les patients en formulant des recommandations aux médecins prescripteurs.
Disponible sur le site Web sont des listes des plus commune de drogue induit des effets néfastes ainsi que les médicaments qui peuvent provoquer chez eux. Dans la case ci-dessous sont quelques-uns des symptômes qui, même s'ils sont souvent causés par la drogue, sont les types de problèmes que vous, ou de nombreux médecins pourraient premier attribut simplement à "vieillir" ou "se nerveux" au lieu de à un médicament.
Les effets indésirables qui peuvent être causés par les médicaments?
Le médicament-maladie induite listes sur ce site doivent être utilisés par les patients qui ont toute une gamme de problèmes de santé (ou par les médecins) afin de découvrir les médicaments, en particulier ceux qu'ils utilisent ou envisagent d'utiliser, peut provoquer des effets indésirables réactions. Les listes sont compilées à partir de diverses sources. 17,18,19,20,21,22,23
Bien que certains de ces effets indésirables se produisent le plus souvent chez les personnes âgées, chacun d'entre eux ont également été documentée chez les jeunes gens, bien que parfois pas aussi souvent.
Résumé des effets indésirables et les médicaments qui causent les
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Seuls les plus facilement détectables problèmes sont pris en compte, et que la plupart des drogues causant chaque problème sont énumérés. | |||
Des effets indésirables des médicaments |
Nombre de médicaments |
Exemples de noms de marque |
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Depression Dépression | 166 | Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac | |
Psychoses/ hallucinations Psychoses / hallucinations | 156 | Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonata, Tagamet, Ultracet, Valium, Vioxx Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonate, Tagamet, Ultracet, le Valium, le Vioxx | |
Confusion/ delirium Confusion / délire | 147 | Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac | |
Dementia Démence | 76 | Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax,Zantac Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac | |
Insomnia Insomnie | 35 | Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24 Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24 | |
Parkinsonism Parkinsonisme | 40 | Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, le Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine | |
Tardive dyskinesia Dyskinésie tardive | 19 | Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa | |
Dizziness on standing Vertiges de s'arrêter | 154 | Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, Minipress, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonata, Tenormin, Valium, Xanax Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, MINIPRESS, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonate, Tenormin, Valium, Xanax | |
Falls/hip fracture Falls / fracture de la hanche | 59 | Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax | |
Automobile accidents Automobile accidents | 28 | Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft | |
Sexual dysfunction La dysfonction sexuelle | 127 | Abilify, Calan SR, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac Abilify, SR Calan, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, le Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac | |
Loss of appetite, nausea, vomiting Perte d'appétit, des nausées, des vomissements | 63 | Advil, Avelox, Daypro, Demerol, EES, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram Advil, Avelox, Daypro, Demerol, SEE, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram | |
Abdominal pain, ulcers, GI bleeding Douleurs abdominales, ulcères, hémorragies gastro-intestinales | 48 | Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, Vioxx, Zithromax Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, le Vioxx, Zithromax | |
Constipation | 107 | Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol No. 3, Tylox, Ultram, Urised Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol n ° 3, Tylox, Ultram, Urised | |
Diarrhea Diarrhée | 56 | Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips’ Milk of Magnesia, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips «Lait de Magnésie, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm | |
Lung toxicity Toxicité pulmonaire | 59 | Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken | |
Blocked urination Bloqué uriner | 56 | Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban | |
Urine leakage Les fuites d'urine | 84 |
Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, Minipress, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, Zaroxolyn, Ziac, Zoloft Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, MINIPRESS, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, ZAROXOLYN, Ziac, Zoloft |